Coup de canif
Datte: 19/02/2020,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
cocus,
Oral
pénétratio,
init,
Voilà une semaine que j’attendais cet instant-là. J’étais chauffé à blanc par les longues analyses des médias et de l’Équipe sur le match annoncé. Les chances des deux équipes, la forme des joueurs… Sur la table, tout était prévu pour une longue soirée football. En premier bien sûr, de la bière bien fraîche, puis des olives, des pistaches et de la bière encore. Je m’étais affalé sur le fauteuil. Quels délices je me promettais ! OM-PSG ! Quel plus beau spectacle ? Plus porteur d’émotions ? J’adore ce genre de soirée! Ma femme était occupée à lire son magazine féminin préféré. Sur l’écran de la télé, la foule s’enthousiasmait à l’avance. La présentation des joueurs commençait. C’était l’événement phare de la saison. Les commentateurs s’en donnaient à cœur joie. Dans les tribunes du Stade Vélodrome les spectateurs s’excitaient. Les caméras étaient fixées sur l’entrée des premiers joueurs parisiens. Je commençais à me verser une première bière, quand j’ai perçu le pas léger de ma femme qui, sans nul doute, délaissait sa lecture pour aller faire pipi. J’y ai à peine prêté attention, tout à mon écran télé. Je me délectais d’une premier gorgée de bière quand elle est entrée au salon. — Tu m’en fais boire un peu ? Me dit mon épouse.— Bien sûr, ma chérie. J’ai tendu mon verre. Elle s’en est saisi et s’est glissée entre mes jambes sur la moquette. Elle s’est délecté un temps, puis a demandé : — Qui est-ce qui joue ? Une vraie question de femme. — Mais voyons ! On en a parlé toute la ...
... semaine ! C’est l’OM contre le PSG.— Je peux rester un peu ? Je n’étais pas très chaud pour l’avoir comme ça entre mes pattes, mais comment lui dire que j’avais envie de voir mon match tranquillement ? — Bien sûr, ma chérie ! Elle en profita pour se caler un peu plus entre mes cuisses et, inévitablement, elle frotta ses joues contre ma bite au repos. À mon grand effroi, je sentis celle-ci se raidir sous la fine étoffe de mon pyjama. À ce moment, pourtant, je n’avais qu’une idée en tête : être tout au plaisir de mon match. Les joueurs étaient d’ailleurs déjà sur le terrain et le public était en transes. — Eh bien dis donc ! Gros Bébé a l’air en forme, a dit soudain ma tendre en empoignant à pleine main mon chibre déjà tendu. Elle glissa sa main experte dans l’ouverture de mon pantalon pyjama et l’en retira. Je suppliai : — Laisse-moi tranquille, chérie, tu vois bien que le match commence ! Elle n’en a eu cure, car déjà elle l’avait enfourné dans sa bouche pulpeuse. Je me cabrai sous la caresse buccale. Pendant un moment, même, je me suis laissé faire. Elle faisait ça si bien ! Sa langue experte de petite femme chérie, s’enroulait si voluptueusement autour de la colonne de chair en feu… Puis je me suis rebiffé. — S’il te plaît, laisse-moi voir la télé tranquillement ! J’essayai de m’en dépêtrer, mais elle n’était pas décidée à lâcher sa prise. Alors, je me suis énervé. Je me suis levé brusquement pour me soustraire à l’affamée. J’ai hurlé : — Mais enfin ! Laisse-moi voir ce match ...