Coup de canif
Datte: 19/02/2020,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
cocus,
Oral
pénétratio,
init,
... avait-elle été dans un bar, s’était-elle fait draguer… Je n’osais l’envisager. Le match nul de mon équipe, acquis à l’extérieur, n’arrivait même pas à me rendre heureux. Je me suis servi une dernière bière en l’attendant. Mais je n’en retirai nul plaisir. J’avais les yeux fixés sur la pendule. Combien de temps encore allait-elle tarder ? Je commençais sérieusement à m’inquiéter, quand le bruit des clefs dans la serrure m’a avisé de son retour. Je connais très bien ma femme et, à son visage, j’ai tout de suite pensé au pire. Il était à la fois empreint de crainte et de défi, d’arrogance, même. Elle a posé son sac sur le fauteuil et m’a demandé, avec agressivité : — Alors, il était bien, ton match ? Je n’ai pas pris la peine de répondre à la question et j’ai demandé à mon tour : — Où étais-tu ? Un léger sourire a fleuri sur ses lèvres. — Comme je te l’avais dit, j’ai été chercher dehors ce que je n’ai pas pu avoir à la maison.— Tu veux dire que tu t’es faite baiser ?— Exactement ! Je n’arrivais pas à la croire. J’ai dit, moqueur : — Avec qui ? Et comment ça ?— Avec le grand brun du quatrième.— Le basketteur ?— Oui, lui-même. J’étais un peu sceptique. J’ai ajouté, avec un brin d’ironie dans la voix : — Alors tu as été chez lui, en lui demandant de remplacer ton mari défaillant…— En quelque sorte. Figure-toi, que, depuis un bon moment, il me draguait effrontément. Chaque fois qu’il me voyait, il me proposait de venir boire un verre chez lui.— Le salaud !— Jusqu’à présent je ...
... refusais, mais après ce que tu m’as fait ce soir, j’ai sonné chez lui et je lui ai demandé si son invitation à boire un coup tenait toujours.— Qu’est-ce qu’il a dit ? Il a dû paraître surpris ?— Il a dit : « Et votre mari ? » « Il préfère regarder un match de foot que s’occuper de sa petite femme. » « Oh le con ! Négliger un morceau de roi pareil, pour des bonshommes abrutis qui courent sur un stade ! » Il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée ! Je ne savais que penser. Elle me faisait marcher, j’en étais certain. Ma petite femme chérie ne pouvait m’avoir trompé pour si peu ! Elle a dû s’en rendre compte car, furieuse, elle cria : — J’étais sûre que tu ne me croirais pas ! Eh bien, figure-toi que j’en ai gardé la preuve ! Elle s’est soudain positionnée devant moi, a relevé sa courte jupe, a écarté le fond de sa culotte et a ajouté : — Vérifie par toi-même ! J’ai glissé alors un doigt inquisiteur entre les lèvres gonflées de sa chatte. Bon sang ! Son vagin était véritablement gluant de sperme ! J’ai hurlé : — Mais c’est vrai ! Tu t’es faite baiser, salope ! J’ai eu l’impression que le sol se dérobait sous moi. Une atroce douleur a envahi mon cœur. Tout s’effondrait soudain. J’ai enfoncé un peu plus profondément mon doigt à l’intérieur de ses chairs et l’en ai retiré plein de jus d’homme épais. J’avais très mal. J’étais complètement anéanti, tout se dérobait sous moi, sur le coup. Je l’ai tirée par la main en disant : — Tu te rends compte de ce que tu as fais? D’abord d’un ton ...