Coup de canif
Datte: 19/02/2020,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
cocus,
Oral
pénétratio,
init,
... buté, elle m’a dit : — C’est de ta faute ! Puis elle s’est jetée, soudain en pleurs, près de moi, sur le canapé. Un gros chagrin, comme un vrai désespoir. Elle hoquetait et pleurait à la fois. Elle semblait s’expliquer à travers ses larmes, mais j’avais du mal à la comprendre. Enfin, j’ai cru discerner le sens de ses borborygmes. Elle en avait plus qu’assez de mon football, de mes virées avec mes potes au Parc des Princes, de mes soirées télé, etc., etc. Puis, après un temps, qu’elle regrettait ce qu’elle avait fait, qu’elle m’aimait et n’aimait que moi. Je n’ai jamais pu supporter de voir une femme pleurer. Malgré ma colère, j’ai glissé un bras derrière ses épaules pour la prendre entre mes bras, la consoler. C’était bien joué de sa part : de cocu, elle me mettait soudain dans la peau de coupable… — Allons ! Arrête de pleurer… Cesse de te mettre dans cet état, tu vas abîmer tes jolis yeux. Je l’aimais trop, je n’arrivais pas à être méchant. Elle a levé vers moi, son regard baigné de larmes. Sa joue était près de mes lèvres Je n’ai pas résisté. Je l’ai baisée amoureusement. Sa peau était délicatement salée et brûlante d’émotion. Nos lèvres se sont alors soudées, nos langues emmêlées langoureusement. Pendant un moment, j’ai tout oublié. Mes mains fiévreuses ont parcouru son corps. J’ai caressé ses seins pulpeux. Un tourbillon de volupté m’a emporté. Je voulais l’embrasser partout, comme pour effacer les souillures de l’Autre. Ses seins se sont durcis sous mes baisers. Je l’ai ...
... vite déshabillée et j’ai entrepris d’essuyer de toute ma langue les traces du déshonneur. J’ai nettoyé son abricot juteux dans ses moindres recoins, en une longue preuve d’amour. Par mes caresses, je pardonnais. Je vibrais, elle tremblait sous mes gestes passionnés. Vite, vite, il me fallait lui faire oublier l’autre. J’ai parcouru en tous sens son abricot poisseux, dans les moindres recoins. Quand sa chatte, sous ma langue, s’est trouvée toute propre du sperme de son amant, nettoyée dans ses moindres replis, je l’ai honorée de ma bite gonflée. Jamais je n’avais été si gros ni si dur. Étrange excitation que celle qui m’envahissait. Elle n’était plus désormais la femme d’un seul homme. Elle avait tremblé sous les désirs d’un autre homme, elle avait sûrement dû crier dans ses bras, comme elle le faisait en ce moment dans les miens. Elle en devenait d’autant plus précieuse. J’ai cru la déchirer en la pénétrant, tant mon excitation était forte. Une autre queue l’avait fouillée cette nuit et j’en étais troublé. Je l’embrassais et il me semblait reconnaître à sa bouche une autre saveur. Je pensai : "Petite salope, garce !" Et je n’en l’aimais que plus. Ma rancœur même me faisait la pénétrer plus passionnément. Son trou juteux, béant, je le pilonnais avec une violence que je ne me connaissais pas. Et elle en jouissait d’autant plus. Ses orgasmes, ce soir-là, ont été ravageurs, multiples. Jamais je n’avais tenu autant, raide et perforant. Et performant, d’ailleurs. Longtemps après, ...