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Les confessions d'un amant
Datte: 20/02/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail douche, amour, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, tutu,
Voici plusieurs années que l’on se côtoie chaque jour au travail. Les premières heures de ce qui deviendra une belle histoire sentimentale ne me laissaient d’aucune manière entrevoir la suite. Je dirais même que ma réaction fut une pensée négative du genre « Elle n’est vraiment pas jolie ». Cette pensée était idiote car je ne te connaissais pas encore et je ne voyais en toi qu’une jeune femme de trente ans, pas très jolie, timide et réservée. Le destin avait décidé que nous serions amenés à passer une heure par jour en tête à tête par le biais des transports. Ta compagnie était très appréciable, ta conversation, même si réservée, se révéla intéressante et ces heures passées ensemble à nous mieux connaître glissaient agréablement. Il me fallut beaucoup de temps avant de réussir à te faire parler de toi et à me faire accepter comme ton confident. J’avais compris depuis longtemps que tu étais une jeune femme seule dont la timidité et les complexes inhibaient toute relation amoureuse. Ce fut une grande victoire le jour où tu commenças à me parler sans complexe, sans honte et sans rougir des choses qui touchent tes sentiments les plus intimes. C’était sans doute ta façon de me dire que tu m’aimes comme ton ami à défaut d’un amant puisque je suis marié. J’aime souvent te dire que je te trouve jolie, que je suis sensible à ton charme. Tu me glissas une fois « Je ne me trouve pas jolie, et ce n’est pas dans mon tempérament d’aller vers les hommes » ; je t’ai répondu « Je peux ...
... t’assurer que si je n’était pas marié, je t’aurais fait des propositions ». Je sentis que cette réplique spontanée et inattendue t’allait droit au cœur à tel point que tu en rougis un peu avant de me répondre par un large sourire et des yeux qui en disaient long. J’étais sincère, et je me retrouvais face à toute l’ambiguïté que représente la relation amicale entre un homme et une femme. Inutile de me le cacher : j’étais amoureux de toi, d’un amour profond et interdit qui faisait frémir mon cœur et tout mon être. Ma femme Cécile savait que nous passions du temps ensemble, j’allais jusqu’à lui confier certains de mes sentiments pour toi en essayant au maximum de ne pas trop heurter sa jalousie. Je me suis organisé pour que Cécile et toi fassiez connaissance et ayez un peu de temps pour discuter. C’était une manière de rassurer Cécile et de te montrer que je l’aime, car aucun homme ne s’y prendrait ainsi si son but est de tromper sa légitime épouse. Je savais très bien que tes principes moraux interdisaient tout dérapage entre nous et c’est justement là que réside tout le mystère du genre humain qui se trouve coincé entre son sens des valeurs, ses sentiments, et ses pulsions. À mon sens l’amour au sens noble et un sentiment qui fait abstraction de tout le reste et qui doit privilégier l’être aimé même si cela implique des sacrifices. J’étais bien décidé à ne sacrifier ni mon amour pour toi, ni celui de Cécile. Je ne m’étais pas trompé, car au fil des sorties que tu partageais avec nous ...