Les confessions d'un amant
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
douche,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
tutu,
... plus provocants. Tes mains me caressaient les cheveux, la nuque et le dos pendant que ma bouche explorait, embrassait. La douceur de ton ventre n’avait rien à envier à celle de tes seins, tout mon visage en est témoin car il en eut la primeur, alors que mes mains appréciaient les globes tendus de ta poitrine. Plus je me rapprochais de ton bas ventre, et plus je sentais le feu brûler en toi. J’étais instinctivement et irrémédiablement guidé par les effluves de ton sexe, une odeur douce, exaltante que l’on pourrait comparer au chant des sirènes et qui me dirigeait non pas vers les récifs, mais vers un continent à la fois noyé dans un océan chaud, et secoué par un volcan qui n’a de cesse de déverser des torrents de lave. J’étais entre tes cuisses, et je fis de mes deux mains glisser ta culotte mettant à nu une petite montagne couverte d’une légère touffe de poils bruns. J’étais dur comme un bout de bois, j’aurais aimé te prendre, là, tout de suite. Non, je voulais te guider en douceur vers les chemins du plaisir, te réserver ce qu’il y a de mieux qu’un homme puisse offrir à une femme. Je m’engouffrai entre tes cuisses posant mes lèvres sur la fente de ton sexe gonflé de désirs. Je commençai à en explorer les reliefs de ma langue, découvrant le goût délicieux de cette merveille si longtemps préservée. Tu te mis à gémir, à onduler, tes mains vinrent se placer sur ma tête pour guider ma bouche dévoreuse. Tes gémissements se firent plus intenses, tes jambes se relevèrent et ...
... s’écartèrent encore, m’invitant à fouiller chaque parcelle de ton intimité. Je me fis plus insistant sur ton petit bouton, l’un de mes doigts s’introduisit dans ton vagin et en massa l’intérieur, tu semblais aux anges partie dans une immense jouissance. J’avais l’étrange sensation de pouvoir anticiper sur les réactions de ton corps un peu comme si ce n’était pas la première fois que nous faisions l’amour. Je t’ai sentie partir, tes muscles se resserrèrent autour de mon doigt indiscret, et c’est tout ton corps qui fut secoué par une série de spasmes révélateur d’un puissant orgasme. Il te fallut quelques minutes pour reprendre tes esprits, et saisir délicatement mon sexe dans ta main. Tu y portas tes lèvres, tu parcourus mon gland de ta langue avant de me lâcher d’un coup : — Je veux que tu me rentre dedans, je veux sentir ta bite me fouiller ! Où était passée la jeune fille timide et réservée ? Je m’allongeai sur le dos et tu vins me chevaucher. J’étais en arrêt devant tes seins qui se dressaient à quelques centimètres de mon visage, cette vision me fit durcir encore plus, et tu plaças ta petite chatte dégoulinante tout contre, prête à se faire dilater. Tu poussas doucement et je sentis mon gland écarter les chairs puis s’enfoncer dans l’étroitesse des lieux. J’étais maintenant complètement noyé au plus profond de toi, tu restas ainsi empalée sur mon pieu de longues minutes, profitant de ce moment pour m’embrasser, masser tes seins contre ma poitrine pendant que ton vagin s’habituait ...