1. Les confessions d'un amant


    Datte: 20/02/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail douche, amour, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, tutu,

    ... tréfonds de mes fantasmes, tout est désormais possible. Tu étais toujours contre moi à savourer ces moments de douceur et d’excitation, l’instant était parfait pour te parler d’un désir un peu fou, un désir qui n’est pas seulement le mien, mais aussi celui de Cécile. « j’aimerais tant que l’on fasse l’amour tous les trois ; je sais que Cécile aimerait te serrer dans ses bras, embrasser ta douceur dans tout ce qu’il y a de plus beau, de plus merveilleux. » Ceci te conduisit à me faire à ton tour une confidence, l’une de celles que tu réservais pour plus tard : depuis l’adolescence il t’arrivait de te surprendre à fantasmer sur une femme qui viendrait partager la douceur de ton lit et te réchauffer de ses caresses. C’était plus qu’il ne m’en fallait pour être heureux et enfin entrevoir un dénouement heureux à cette passion qui a longuement mûri au fond de chacun de nous, jusqu’à ce soir où elle nous a rattrapés en nous explosant au visage. Tu te mis à m’expliquer timidement de ta petite voix douce que cette idée n’était pas étrangère et que tu avais été prise d’une envie soudaine de nous rejoindre dans notre lit un matin alors que tu dormais chez nous. Le péché paraissait moins capital puisque Cécile n’était plus étrangère à nos désirs. Nous étions de toute façon arrivés au point de non retour et je crois que rien au monde n’aurait pu nous séparer à ce moment précis. Ma main posée sur tes fesses fit glisser la fermeture de ta jupe. Je m’y engouffrai et je sentis la douceur de ...
    ... tes cuisses que tu entrouvris. J’effleurai le tissu humide de ta culotte avec tout l’émoi des plus grands explorateurs et mon cœur se mit à battre à tout rompre lorsque mes doigts se glissèrent dans la moiteur de tes fesses, comme aspirés vers ton sexe ruisselant de désir. Tu te pressais un peu plus contre moi, chacun de mes gestes te faisait tressaillir de bonheur et tes lèvres embrassaient mon cou de mille morsures. Je devins comme un fou faisant tomber un à un les dernières barrières de tissu qui nous séparaient, procédant presque dans un ordre méthodique. D’abord ta jupe que tu m’aidas à glisser en levant légèrement les fesses, ensuite ton haut, puis ma chemise, mon pantalon, et tout cela accompagné de baisers ici et là. Je m’arrêtai quelques instants lorsque nous n’étions plus vêtus que de nos sous-vêtements pour mieux te désirer, te faire languir, et me préparer à savourer l’instant magique où j’allais découvrir ton corps dans sa plus parfaite nudité. J’avais l’impression que nous avions cessés d’exister dans le monde réel, il ne subsistait plus de nos âmes qu’un désir immense noyé dans un univers physique réduit à nos corps. Le soutien-gorge de dentelle bleu que tu portais ne résista qu’un instant à l’assaut de mes griffes, et je découvris deux seins bien ronds munis de petits tétons pointus qui me regardaient. J’approchai mes lèvres, je fis de petits bisous, d’abord sur les cotés, puis sur les tétons allant jusqu’à les pincer entre mes lèvres ce qui les rendit encore ...
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