Les confessions d'un amant
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
douche,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
tutu,
... naquit une réelle affection entre toi et Cécile. Tu n’étais plus sa potentielle rivale et elle apprit à faire la part entre mon adoration pour toi et le mari aimant que je suis. Il y eut pourtant une exception qui se traduisit plus, à mon sens, par la beauté des gestes tendres que par un immanquable acte de lâcheté par rapport à Cécile. Nous étions partis une semaine pour un séminaire en province et le deuxième soir, peu de temps après le dîner, tu es venue frapper à ma porte alors que j’était allongé sur le lit en regardant une vague émission de télé. Je me sentais seul et tu devais sans doute avoir le même sentiment d’ennui pour venir chercher un peu de chaleur dans mon antre. Tu t’installas à mes cotés et une bonne heure passa avant que tu ne décides de réintégrer ton domaine. Tu te levas, je te suivis, et au moment de t’embrasser pour te souhaiter une bonne nuit, je fus pris du désir insensé de rester avec toi. Nous étions debout, je te pris dans mes bras en te serrant très fort, ma tête vint se nicher sur ton épaule quelques temps, puis je mis mes mains dans tes cheveux et je parcourus tes joues et tes lèvres de baisers. Tu ne disais mot, surprise sans doute, mais abandonnée à cette sensation nouvelle et excitante. Je te pris par la main, t’emmenai sur le lit en t’invitant à t’allonger. J’éteignis la lumière, seule la télévision projetait une lumière blafarde dans la pièce, et mes gestes se firent plus insistants et plus précis. Je pouvais distinguer tes yeux clairs ...
... dont le bleu s’était évanoui dans l’obscurité me scruter et m’inviter à prendre possession de ton corps alors que ton esprit m’était depuis longtemps acquis. Tu découvrais pour la première fois une sensation toute nouvelle, et moi je sentais tout ton être répondre, tressaillir, surtout lorsque je passais mes mains sur tes seins et ton ventre. Je défis un à un les boutons de ton corsage, je pris dans ma main ton sein encore enfermé dans son bonnet de dentelle, puis l’autre que j’embrassais, j’étais pris d’une volonté frénétique de m’enivrer des parfums de ton corps en émoi. Tu vins te serrer contre moi sur le côté en me donnant un baiser profond et je pus te caresser les fesses au travers le rempart de ta jupe. Nous avions terriblement envie de faire l’amour, de finir ce que nous avions commencé avec tellement de spontanéité. À cet instant se bousculaient tous nos principes, comment regarder Cécile après cela ? Cette simple pensée nous paralysait et nous nous contentâmes un long moment de ce grand moment de tendresse même si on ne peut nier un réel désir sexuel. C’est dans ces instants que l’on découvre que le sexe devient une composante indissociable d’une profonde affection entre un homme et une femme. Comment en suis-je arrivé là ? Ressentir un véritable amour pour deux femmes au point de penser à l’une lorsque je suis avec l’autre est-il naturel ? Autant de questions sans réponse me renvoyant à un fabuleux constat : je suis heureux que cela soit arrivé et je pense qu’aux ...