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Fiasco
Datte: 22/02/2020, Catégories: Humour, Première fois
... apportaitles victuailles commandées. Peut-être avait-il approché ainsi Anna.Peut-être l’avait-il sauté chez elle. Cette dernière semblait avoir uneprédilection pour ces ébats en pleine nature. Ils s’attardèrent dans levéhicule. Elle devait sucer. Peu après l’habit en désordre il l’entraînaderrière les arbres. J’hésitais à repartir et de les abandonner à leurpartie. Poussé par la curiosité je rampais jusqu’à eux.Je sursautais. J’avais peu loin et face à moi le visage d’Anna.Heureusement elle avait à cet instant les yeux fermés. Alexandrecramoisi concentré la prenait en levrette. L’un l'autre heureusement neme virent. J’entrais au fond du buisson blessé par ses épines. Jetrouvais magnifique de goûter à un tel coït. Elle gémissait commel’autre fois. Alexandre grognait et rugissait. Ce ne devait êtrequelques mots aimables ou châtiés. Il devait la traiter de putain. Ilmarqua un arrêt s’affairant derrière elle avant de reprendre.Manifestement il la besognait cette fois en un endroit plus intime. Jela vis faire une grimace et recommencer peu après de gémir.Je dus attendre jusqu’à la fin planqué en ma cachette. Ils semblaientêtre complices et rigolaient maintenant. C’était moins froid qu’avecPetiot. J’attendis que la camionnette s’éloigna. Je fonçais de nouveauvers l’immeuble de la belle. Elle me vit réapparaître. Eut-elle vent quece n’était pas coïncidence ? Que j’avais pu la filer et savais d’où ellevenait ? Elle sourit. Elle prévint mes premières paroles disant : «Montons. Nous ...
... devrions trouver encore des magazines. » Cette fois tandisqu’elle roulait à nouveau du cul, je glissais une main jusqu’à saculotte qu’elle avait mauve. Ce cul était chaud. Mon copain Alexandres’y était ébroué.Je la plaquais contre le mur. Elle se laissa embrasser. Elle s’offraiten trophée et objet sexuel de hasard. Sous le haut relevé je découvrisses seins dont je mordis les tétons tour à tour. Elle n’était plus simaussade qu’hier. Elle riait. Mon futal fut bientôt descendu. Ellecaressait entre ses doigts ma queue l’enfournant bientôt dans sa bouche.Elle ne semblait pas gênée d’avoir sucé un autre avant moi. Je fus nubientôt et sur elle dans un lit où madame dormait avec son conjoint.J’eus la joie maligne de songer que l’autre imbécile ronflaitbenoîtement dans ce lieu. Je me tapais ainsi que d’autres sa poule.Je voulus faire pareil qu’Alexandre. J’étais peu aguerri. La levrettesans parler de la sodomie achevèrent de me faire débander. Elle rit etme suça de nouveau pour m'affermir. Elle me dit que j’étais tropimpétueux. Que je ne devrais pas brûler ainsi les étapes. Elle me dit :« Si tu veux enculer, tu devras me laisser te guider. » En effet ce nefut qu’au bout d'une troisième rencontre que je parvins à la pénétrer età soutenir cet effort entre ses fesses. Je n’avais cure qu’émana d'ellel’odeur d’autres amants. Cela m’excitait plutôt. Grâce à elle je fis derapides progrès pouvant me croire un homme.Un soir tout fier je m’en ouvris à un pote. Glorieux j’avouais quej’étais amant ...