1. Croisements


    Datte: 22/09/2017, Catégories: f, h, fh, sport, amour, photofilm, Oral préservati, pénétratio, amourpass,

    ... son poing autour de sa verge pour chasser les idées qui lui venait.« Que fait-elle ? Pense-t-elle à moi ? Un homme est-il couché sur elle et lui offre-t-elle ces cris qui me feraient pleurer de bonheur ? ». Il attrapa ses bourses, de sa main gauche comme Marion le faisait, et les mâchoires serrés, il poursuivit, comme si son souffle en dépendait. Il la revoyait jouir, il était hanté par ce regard sur la photo, sa main accélérait,« je la veux », l’odeur de sa peau lui revenait, ne le quittait jamais, l’obsédait. Il murmurait à voix basse le prénom de cette femme qui l’avait envoûté avec un sourire, dont les caresses, les soupirs le faisait jouir, une jouissance si intense, une explosion intérieure, oh oui, pendant ces instants elle était à lui, elle se donnait à lui seul ! Il sentit sa sève monter, releva son pull et se répandit sur son ventre contracté. Jouissance fade de la masturbation depuis qu’il l’avait rencontrée. Jouissance attristée par la peur de ne pas la revoir, de ne pas la comprendre. Il regardait sa semence couler sur son côté. Il se sentit si seul soudain. Et si con, couvert de son sperme, à fantasmer sur une femme qui ne pensait certainement déjà plus à lui, qui pouvait avoir les hommes à ses pieds, alors pourquoi lui accorderait-elle… Il se mit en chien de fusil sur le sol, dans la poussière. Il perdait la raison, ça devait être ça. La boule au fond de lui grondait et ses mains lui refusaient la possibilité de s’exprimer. Il contracta ses muscles pour ...
    ... rejeter cette idée qui le hantait, qui le réveillait la nuit : il n’avait plus envie de sculpter, il la voulait, ELLE. Cette lionne lui manquait. Pourquoi n’écrivait-elle pas ? Que fallait-il qu’il fasse pour la conquérir, la reconquérir, qu’elle soit à nouveau entre ses mains ? Il la voulait pour lui seul ; sans Marion ses mains si coutumières des outils semblaient perdues. Il avait mal, il connaissait la souffrance, mais ça ne l’avait jamais empêché de sculpter. Certaines de ses œuvres restaient cachées de tous, même de lui une fois le travail accompli. Quoiqu’il ressente, il le donnait à la pierre, mais Marion lui avait pris ses burins, allégé sa massette, éteint le feu qui brûlait comme celui d’une forge dans son torse. Surpris, il avait cru que c’était elle qui bercerait son cœur tourmenté, celle qu’il cherchait sous ses ciseaux depuis des années, cette femme qui serait tout pour lui, qu’il avait presque créé de ses mains calleuses. Le front dans la poussière, il lui parlait, refusait l’idée qu’elle ait pu partir en ayant tout pris de lui. L’idée de s’être trompé sur elle lui causait une douleur insupportable qui lui rongeait le ventre. Après lui avoir fait découvrir la paix dans ses bras, au fond de son ventre, elle ne pouvait pas partir en ne lui laissant qu’un cliché déchiré sur lequel il avait vu des larmes. Lui avait-il fait mal, qu’avait-il fait de mal ? oooOOOooo Marion laissait le vague à l’âme des poèmes la prendre dans son flot. Elle s’imaginait à nouveau sur ces ...
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