1. Mister Hyde - 12


    Datte: 27/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... lorsqu’il prit appui sur ses cuisses pour les repousser vers son torse. Puis il se pencha et, du bout de la langue, vint tutoyer la surface liquide. L’onde ainsi provoquée fit frémir Frédérique. Il va me lécher pensa-t-elle, il va boire… tandis que les lèvres de son maître se collaient à son sexe. Il aspira, à petites lampées, le champagne bonifié de désir qui imprégna sa bouche d’arômes merveilleux avant de le laisser couler dans sa gorge. Il avait absorbé la surface, il lui fallut s’enfoncer plus profond pour accéder au lac désormais souterrain. Avec lenteur, il engagea sa langue, comme s’il forait les chairs tendres. Frédérique n’eut d’autre choix que de gémir ? La bouche de Frédéric l’avait toujours menée rapidement à l’extase, celle de son maître était pire, elle lui imposait l’attente. Car il s’interrompait, sans doute pour déguster le breuvage divinisé qu’il lapait au fond de son sexe, mais à chaque fois à l’instant précis où elle se disait qu’elle allait s’envoler. Cela dura longtemps, d’autant que Frédéric se resservit à deux reprises laissant sa femelle pantelante. Et puis, enfin il porta l’estocade : la langue, les lèvres, les mâchoires et les dents de son maître devinrent comme indépendantes les unes des autres, caressant, griffant, mordant ou pinçant Frédérique en des points improbables de son intimité. Du périnée au clitoris, pas un seul millimètre carré de sa chair n’était laissé en repos par la bouche avide de son maître. Le cri qui sortit de sa gorge commença ...
    ... en soupir pour se muer en ululement, en hurlement de louve. Frédéric ne l’abandonna qu’une fois le plaisir passé. Sans faire de bruit, presque timidement, il s’installa à ses côtés, lui laissant reprendre son souffle. Machinalement, il caressa son sein, joua avec son téton. Il était souriant et détendu, elle fut heureuse de le retrouver ainsi. - Merci ! lui dit-elle. Elle n’avait pas besoin d’être plus expansive, ces deux syllabes étaient bien suffisantes pour exprimer la profondeur de sa reconnaissance. *** C’est une chaleur inhabituelle qui la réveilla, une chaleur au goût de caramel et de biscuit, la chaleur de Franck. Le petit bout de chou était dans son lit, gigotant mollement à la recherche de son sein. Tout doucement, elle le guida. Les lèvres du bambin ventousèrent le téton. Il est bien le fils de son père se dit-elle en repensant à la bouche de Frédéric aimantée à son clitoris. Puis elle rougit, honteuse de la comparaison qu’elle venait de faire. Légèrement à sa droite, mais hors de son champ de vision, elle entendit un rire. De rosée, elle devint pivoine. - Tu es vraiment la reine des salopes et, j’adore ça ! dit la voix dans un éclat de rire. Etre la reine des salopes, ce n’était pas son ambition, elle voulait juste être sa salope, à Lui. Car, même si elle avait honte, elle aimait qu’il le lui dise, elle aimait qu’il l’humilie. - Je mouille, répondit-elle en posant la main sur son ventre, tout près de son mont de vénus. J’ai sans doute besoin d’être fouettée… - Tu ...
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