Mister Hyde - 12
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ne perds rien pour attendre, chienne que tu es. Dès que Franck dormira, nous irons faire un tour en bas… Mais pendant qu’il te tète, toi, tu vas me sucer ! A cet instant précis, elle était dans son rôle de mère et donc, selon leur convention, il lui était possible de refuser. Deux choses l’en empêchèrent : son désir, bien sûr mais surtout le courriel qu’elle lui avait écrit dans lequel elle se soumettait par avance à toutes les modifications qu’il voudrait apporter à ce contrat initial. Elle avait décidé de lui donner tous les droits sur sa personne, il n’était pas question qu’elle se dédise dès la première difficulté. Elle changea Franck de sein afin d’être dans une meilleure position et prit sans hésiter le sexe de son maître dans la bouche. Très lentement, pour ne pas déranger son bébé, elle entama des va et vient et, bien que ce ne fut guère facile, elle avala la verge dans sa totalité. Conscient des difficultés qu’il lui imposait, Frédéric vint au secours de sa soumise et prit la direction des opérations. D’une main ferme, il bloqua son visage et ondula doucement du bassin. Elle se laissa baiser durant quelques allers-retours puis sa langue entra en action. Elle resserra ses lèvres sur le membre tandis que son appendice buccal dansait autour en l’humectant de sa salive. Frédéric grognait de plaisir, Franck se repaissait de son lait ; elle satisfaisait en même temps les deux êtres qu’elle chérissait le plus au monde. Pour la première fois de sa vie elle conciliait ce ...
... qui était réputé inconciliable : être mère et amante. Et, même si elle éprouvait une honte certaine à mêler son enfant à ce jeu sexuel, elle n’en ressentit pas moins une immense délectation. De ce point de vue, Frédéric n’était pas en reste. Il savourait chaque seconde passée dans le fourreau chaud et humide de sa femelle. Elle était bonne et suçait de mieux en mieux. Les prouesses de sa langue étaient inénarrables. Il tenta de résister mais savait depuis le début qu’il ne tiendrait pas bien longtemps. Dans la nuit, il avait sacrifié son plaisir au profit de celui de Frédérique ; après plus d’une semaine d’abstinence, il avait l’impression de recéler des litres de semence et ses bourses le faisait souffrir. Il proféra quelques insultes dont il savait qu’elles l’aideraient à parvenir plus vite au paroxysme de sa jouissance et enfin, il éjacula. Les jets étaient si rapprochés et si copieux que, pendant un instant, Frédérique pensa qu’elle allait s’étouffer. Mais il n’en fut rien. Elle laissa le foutre se déverser sur sa langue en bloquant toute avancée du gland et l’avala à petites gorgées. Elle qui il y a encore deux mois avouait une aversion totale pour la fellation, savoura le liquide comme s’il se fut agi du meilleur des nectars ; qu’il lui en donna simplement l’occasion et elle le sucerait vingt fois dans la journée. Rien qu’à cette pensée, un flot de cyprine s’écoula dans son sexe. *** Franck s’était endormi, repus. Avachi dans le rocking-chair, Frédéric siestait. Frédéric ...