Mister Hyde - 12
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... celui-ci était particulièrement lourd et devait être long pour atteindre ses deux cuisses pourtant largement écartées. - Compte au lieu de crier, ça t’aidera et reposera mes oreilles. Si tu m’obliges à te bâillonner, je doublerai la punition… - Un… répondit Frédérique d’une petite voix. - Deux ! dit-elle presqu’aussitôt. Le deuxième coup venait en effet de l’atteindre, sur les fesses cette fois. La douleur fut si vive qu’elle remonta jusque dans sa poitrine. Elle sentit ses seins gonfler et ses tétons se tendre tandis qu’elle expulsait tout l’air de ses poumons. Attentif, Frédéric n’asséna le troisième coup qu’une fois qu’elle eut retrouvé une respiration normale. Il le porta en bas des fesses ; à la lisière de la première marque. Puis très vite il frappa une quatrième fois, en haut des fesses, juste à la frontière de la cambrure des reins. - Tu as un cul superbe ! Presque de la teinte de ta robe rouge, celle dans laquelle tu as l’air d’une pute et qui te rend si désirable… Je voulais uniformiser tes deux côtés, ajouta-t-il. Mais je me suis dit que tu nourris encore notre fils et je ne veux surtout pas abîmer son garde-manger. Alors, j’ai eu une autre idée. Je vais te détacher pour te retourner… Es-tu sûre que tu vas pouvoir tenir debout sans aide ? Trop occupée à ressasser le terme « Garde-manger » qui l’avait choquée bien plus que ceux de « putain » ou de « chienne », Frédérique ne répondit pas. Son maître reposa la question d’un ton légèrement inquiet. Face au silence ...
... persistant de sa soumise, il contourna la croix pour voir son visage et s’assurer qu’elle allait bien. Elle était consciente, le regard perdu dans le vague mais consciente. Frédéric fut soulagé. Il avait eu peur pour elle, comme cette fois, il y a des siècles, quand elle avait fait un malaise au boulot. A l’époque, il le lui avait dit : « Tu m’as fait peur ! » mais aujourd’hui, il la gifla. Désormais il était son maître et elle devait lui obéir. - Tu réponds quand je te questionne cria-t-il en lui assénant un coup violent sur les fesses. - Cinq ! hurla-t-elle. - Es-tu capable de tenir debout ? interrogea-t-il en lui pinçant sauvagement les fesses. - Oui… Maître. Sa voix, haut perchée dans les aigus, était en dehors de tout contrôle, elle avait tellement mal. Aux fesses, bien entendu, mais ce n’était pas le pire. Le pire c’était l’atteinte à son être profond, à sa maternité. En la ravalant au simple rôle de garde-manger, il venait de l’humilier comme jamais. Elle n’était pas certaine de pouvoir le supporter. Pourtant, elle se laissa détacher et enfila, docilement, le porte-jarretelles et les bas qu’il lui tendait ainsi que la paire d’escarpins. Au moins, elle aurait une meilleure assise pour supporter la seconde partie de la séance qui ne l’excitait plus du tout. Elle ne regardait pas vraiment mais distingua quand même le martinet qui pendait au bout du bras de son maître. Elle savait ce qu’il allait faire et, d’habitude, elle mouillait abondamment à l’idée qu’il fouetta sa ...