Bécassine (7)
Datte: 28/02/2020,
Catégories:
Hétéro
... me défie-t-elle. Je lui attrape le pied et le colle sur le canapé. Elle m’attaque alors avec son second pied, mais ma main et plus rapide et lui réserve le même sort qu’à son comparse. Elle se débat tout en se marrant. Je tente de maintenir ses jambes, mais elle a beaucoup de force. Bécassine change de stratégie et plonge sur moi pour essayer de me chatouiller. Je me défends, empêche ses mains d’atteindre mon ventre. Ses poignets sont saisis ; il ne me reste plus qu’à l’immobiliser pour de bon. Je parviens à la plaquer sur le canapé et me positionne au-dessus d’elle pour la bloquer. Pris par le jeu, c’est maintenant mon tour de la chatouiller. Elle explose de rire et fait semblant de se défendre. — OK, OK ! Je me rends ! abandonne-t-elle au bout de plusieurs minutes. Je suis désormais votre prisonnière ; faites de moi ce que bon vous semble, Monseigneur. J’ai la main posée à quelques centimètres de sa fascinante poitrine ; Bécassine est à ma merci, et je suis sûr qu’elle est sérieuse quand elle me dit qu’elle fera ce que bon me semble. « Je pourrais peut-être… » Non ! Je me souviens des menaces de Rébecca. Mais pourquoi donc ai-je voulu l’inviter à manger ? — Je suis d’humeur magnanime aujourd’hui et vous libère, gente Dame. — Oh, Monseigneur est un homme bon ; comment puis-je lui montrer ma reconnaissance ? — Priez Dieu et confessez-vous pour vos péchés. — Mais, Monseigneur, je me suis déjà confessée pour mes péchés de luxure par le passé, et le prêtre a fini par craquer. ...
... Il a dit qu’il fallait combattre le feu par le feu, que c’était l’unique façon d’expier mes fautes. Il disait que seule sa bite de mâle pouvait me libérer du mal qui m’habite. Je ne savais pas que les prêtres pouvaient être si pervers ! Voulez-vous que je vous raconte plus en détail ? — Bécassine ! la rappelé-je à l’ordre. — Non, je plaisante ; je te la raconterai une autre fois puisque tu ne veux pas m’écouter aujourd’hui. On se rassoit correctement sur le canapé. Elle m’offre un nouveau bisou sur la joue avant de se coller à moi. Mais au lieu de rester tranquillement sans bouger, la voilà qui se tortille sans arrêt comme si elle n’arrivait pas à trouver une position confortable. — Qu’est-ce qu’il y a ? — Ce n’est rien ; j’ai juste un peu mal au dos. — Oh, ça va passer. — Bah, j’avais mal un peu ce matin en me levant, mais avec les chatouilles de tout à l’heure, la douleur a augmenté. Aurais-tu par hasard la gentillesse de me masser ? — Bécassine, as-tu vraiment mal ? me méfié-je. — Bien sûr ! Tu t’imagines que je ferais semblant ? Cherchant depuis tout à l’heure toutes les occasions pour faire grimper la température entre nous, je suppose en effet un mal de dos imaginaire. Me voilà hésitant. — Mais qu’est-ce qu’il se passe à la fin ? s’impatiente-t-elle. Tu ne veux pas écouter mes histoires, tu ne veux pas jouer avec moi, et maintenant tu ne veux pas me rendre un tout petit service. Qu’est-ce que je t’ai fait ? — Mais rien, Bécassine, je t’assure. — Mais si, je vois bien que ...