Bécassine (7)
Datte: 28/02/2020,
Catégories:
Hétéro
... tu n’es pas pareil que d’habitude. Tu m’en veux pour quelque chose ? C’est encore parce que je passe trop de temps avec Becca ? — Non, je te jure. Calme-toi. OK, je vais te masser. — Merci, tu es un amour, se réjouit-elle en me faisant un petit bisou sur les lèvres. « Et merde, je me suis fait avoir en beauté ! Bon, ne paniquons pas. Ce n’est qu’un massage ; ça n’implique rien de sexuel. Rébecca sera peut-être compréhensive si elle l’apprend et ne m’arrachera aucune partie de mon anatomie. » — Pousse-toi, m’ordonne-t-elle ; je vais m’allonger sur le ventre. — Et moi, je me mets où, alors ? — Tu n’auras qu’à te mettre à califourchon sur moi. J’obéis. Mes mains se posent sur ses épaules et commencent à doucement les malaxer. Bécassine semble aux anges. J’élargis ma zone de friction et augmente la pression de mes paumes. La rouquine soupire. — J’aime sentir tes mains sur mon corps ; c’est très agréable… Oui, et moi j’aime poser mes mains sur son corps. Ça n’a beau être qu’un massage, pouvoir la palper me fait de l’effet et me voilà maintenant dur. Je pourrais glisser mes mains pour aller lui pétrir les seins, je suis sûr qu’elle ne dirait rien ; c’est peut-être même ce qu’elle attend. Je pourrais coller ma queue contre son cul : là encore elle ne dirait rien ; elle se frotterait même, j’en suis sûr. Il faut que je garde le contrôle. Bécassine m’indique de la masser plus bas. Je m’exécute. Une minute plus tard, ce n’est pas assez bas pour elle ; je redescends encore. — Non, ...
... c’est vraiment tout en bas du dos que j’ai mal, se plaint-elle. Une nouvelle fois j’obtempère, et me voilà en train de la frictionner au niveau des reins, à quelques centimètres de son si joli cul. Elle lâche un petit gémissement de bien-être. — Hum, j’étais en train de repenser à la fois où tu m’as sodomisée. On ne l’a jamais refait, du coup. — Tu voulais juste tenter l’expérience, lui rappelé-je. De toute façon, Émile t’a refroidie de cette pratique, et puis après tu as voulu jouer les lesbiennes. — Mais Émile était un con ; toi, ce n’est pas pareil. Toi, tu as été très bien. J’ai beaucoup aimé que tu me prennes le cul. Et toi, tu as aimé ? — Oui, avoué-je. — Alors on devrait le refaire un jour, tu ne crois pas ? — Tu es lesbienne maintenant ; et puis tu es avec Rébecca. — Oui, je suis homo, mais toi aussi : ça ne t’a pourtant pas empêché de m’enculer. On pourrait le refaire si tu veux. Juste comme ça, entre amis. — Un jour, peut-être… — C’était aussi le soir où tu as voulu essayer avec une femme, mais je t’ai dit non. C’est la seule fois où tu me demandais un service, et moi je t’ai dit non malgré tous ceux que tu m’avais déjà rendus. C’est pour ça que tu m’en veux ? — Quoi ? Mais où vas-tu chercher ça ? Je ne t’en veux pas du tout. — Tu n’as pas essayé avec d’autres femmes ? — Non. — Tant mieux, soupire-t-elle. Je crois que ça m’aurait embêtée que ce soit une autre qui te fasse vivre cette expérience. — Vraiment ? m’étonné-je. — Oui. Tu souhaites toujours tenter la chose ? — ...