1. Bécassine (7)


    Datte: 28/02/2020, Catégories: Hétéro

    ... Je démarre une sensuelle série d’oscillations et me retrouve plongé dans un océan d’extase. Bécassine me serre contre son corps ardent. Sa bouche ne semble pas vouloir abandonner la mienne. Ses mains se promènent tendrement le long de ma colonne vertébrale, puis parfois, quand je m’enfonce profondément en elle, ses ongles me laissent une traînée de feu sur le dos. Nos corps se répondent l’un à l’autre, s’accordent sur la même longueur d’onde. C’est encore plus merveilleux que ce que j’imaginais. Depuis le début, je l’ai toujours beaucoup désirée ; mais aujourd’hui j’ai appris à la connaître, à l’apprécier et à m’attacher à elle, ce qui rend l’expérience encore plus émouvante. Finalement, je me dis que ce n’est peut-être pas un mal d’avoir attendu si longtemps avant d’avoir la chance de faire l’amour avec cette adorable femme. Je me sens en phase avec elle, je me sens en communion ; j’ai l’impression de ne plus faire qu’un avec elle. Mon sexe pulse ardemment en elle. Ma ferveur est toute tournée vers cet être sublime, vers ce corps que je vénère depuis le premier jour. Bécassine gémit fortement, me prie de la prendre plus vigoureusement, réclame ma bouche et mes mains. Je m’évertue à la satisfaire avec une passion et une dévotion toutes renouvelées. Mon zèle la ravit. Elle exprime son plaisir, cherche à savoir si moi aussi je savoure notre ...
    ... échange ; ma réponse est bien évidemment positive : je n’ai pas souvenir d’avoir déjà ressenti un plaisir si intense. Notre union touche à sa fin. Je me sens prêt à partir, et elle aussi est sur le point de jouir. Elle veut m’entendre dire, pendant qu’elle jouit, que j’aime la baiser ; alors je psalmodie cette phrase. Elle vient. Elle m’enserre brusquement contre elle pendant son orgasme et me hurle de venir en elle. Le trop-plein d’émotions finit par avoir raison de moi : j’explose et me vide en elle comme elle me le demande. Nous passons le reste de la matinée allongés l’un à côté de l’autre sur le canapé à laisser nos doigts se promener sur le corps de l’autre sans rien dire, de peur de briser ce moment si magique et paisible. Finalement, nos estomacs nous ramènent à la réalité vers quatorze heures et nous décidons de nous bouger. Nous mangeons dans le silence, les yeux dans les yeux, des sourires béats sur les lèvres. Nous renouvelons l’expérience plusieurs fois dans le week-end, ce qui fait que nous reprenons le boulot le lundi encore plus fatigués que nous l’avions quitté le vendredi soir. Les semaines suivantes, Bécassine n’a malheureusement pas trop d’occasion de passer à la maison, Becca la retenant chez elle. Nous nous rattrapons cependant pendant les heures de boulot où nous manquons à plusieurs reprises de nous faire surprendre. 
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