1. Première nuit ; première journée


    Datte: 28/02/2020, Catégories: fff, fhh, poilu(e)s, bizarre, contrainte, Oral fantastiqu, fantastiq, Lesbienne

    ... sens les mains monstrueuses se poser sur mes mollets, onduler lentement de mes sandales aux genoux. Je sanglote et murmure : — Laissez-moi, s’il vous plaît. Je sais qu’ils comprennent. Mais l’autre, me tenant toujours les mains, fait passer le bout de ses griffes sur mes bras nus, ma nuque, mon dos. D’autres griffes se promènent à présent sur mes cuisses. Je ne m’attendais pas à autant de délicatesse, et si la peur ne me quitte pas, mon corps, lui, réagit favorablement à ces… caresses. Durant un temps sans fin, griffes légères, poils, paumes sauvages furètent mes membres, remontent sous ma robe, jusqu’à la culotte. Je n’y peux rien : ça me plaît, et je ne peux me mentir : la chaleur dans mon entrejambe, l’humidité que je sens poindre. Une autre odeur va finir par supplanter celle de ma peur : je suis perdue… Perdue, abandonnée à ces monstres qui se montrent si doux, crois-je, mais qui plutôt découvrent une proie, au moins sexuelle, l’analysent en détail, l’explorent, hument les odeurs d’une femelle humaine dont ils sont proches, ma sueur qui perle sur mon cou et dans l’entrefesses. Deux griffes s’emparent du haut de ma culotte, et la descendent aux genoux. Je suis finie. Mon Dieu, son haleine chaude – son museau monstrueux qui prospecte le bas du fessier, l’intérieur des cuisses et presque jusqu’en haut, à en frôler les lèvres de mon sexe. Et un autre museau qui flaire mon cou, fouine dans mes cheveux. Ils semblent coordonnés, complices. D’un geste sec, il déchire la ...
    ... culotte qui s’échoue sur mon pied. Je sais ce qui m’attend, pas de doute, mais là encore, à la peur se joint une sorte de… curiosité pernicieuse, de désir enfoui, l’obscur sentiment qu’il faut essayer. Un frisson de répugnance m’agite : sa langue se glisse entre mes fesses, monte et descend, me lèche avec insistance les abords de l’orifice ; puis, sans doute se tourne-t-il, et cette langue qui semble démesurée me lape littéralement devant, sur toute la longueur de ma fente. Elle appuie sauvagement sur mon clitoris, ce qui électrise tout mon corps, puis entre profondément. Je ne peux m’empêcher d’analyser que ces caresses correspondent exactement à ce que j’attends, et je m’imagine que leurs sens aiguisés perçoivent ce que je ressens. En découvrant cela, je m’abandonne, et là… le plaisir monte alors sans discontinuer, de plus en plus vif. J’halète, telle une de leur semblable, j’oublie à qui j’ai affaire et la jouissance me gagne, inexorablement, bien plus vite qu’à l’habitude. Chaque pression sur mon bouton, chaque passage dans l’intérieur est si parfait. Je refuse de le dire, mais aucun amant ne fut si doué, comme s’il était connecté à mon esprit et à mon sexe. L’autre me caresse les seins, ou plutôt les empoigne, exactement ce que j’aime. Ce n’est pas possible de résister. Le plaisir envahit mon bas-ventre, je le laisse exploser dans mon corps qui tressaute de jouissance. Je ferme les yeux pour savourer chaque seconde de plaisir. Puis il se relève. Que vont-ils faire de moi ? ...
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