1. Première nuit ; première journée


    Datte: 28/02/2020, Catégories: fff, fhh, poilu(e)s, bizarre, contrainte, Oral fantastiqu, fantastiq, Lesbienne

    ... Malheureusement, mes espoirs s’évanouissent en même temps que des griffes me labourent le dos, déchirent ma robe, m’empoignent les hanches. Je sens son sexe brûlant appuyer contre ma vulve. Un coup de rein sans ménagement et il s’enfonce en moi. Je pousse un cri en quittant le sol, me retrouve nez à nez avec le sexe de l’autre bête. Je serre mes lèvres, mais il m’attire par les cheveux et le gland a tôt fait de s’immiscer dans ma bouche. À chaque coup de boutoir dans ma chatte, l’autre queue s’enfonce jusqu’à ma gorge. Des filets de baves indécentes s’écoulent d’entre mes lèvres jusqu’au menton. Lui aussi bave : sa salive épaisse tombe à grosses gouttes sur mes cheveux, mon front. Avec ce phallus bestial qui manque m’étouffer, l’autre qui me martèle, les griffes qui mettent ma robe en lambeaux, je ne peux espérer le moindre plaisir. Une étrange excitation, inconnue, se répand néanmoins dans mon être. Alors que je perds toute notion du temps, que les larmes brûlent mes yeux, j’entends un rugissement derrière moi qui me glace le sang : une éjaculation surhumaine explose dans mon intimité, frappe le col et semble le transpercer pour jaillir dans mon utérus – vision encore plus glaçante ; je sens mon vagin se dilater, se gorger de semence animale. Elle s’écoule sur mon clitoris, goutte au sol. Je veux à tout prix me dégager, mais celui de devant m’enserre la tête, je le sens se tendre ; un flot épais gicle dans ma gorge – j’étouffe totalement – et me fait reculer : la queue ...
    ... dans mon sexe s’enfonce alors jusqu’au fond, fait déborder un lourd jus qui macule mes cuisses. Le gland quitte mes lèvres endolories. Pour respirer, je laisse le contenu de ma bouche s’écouler en une grosse flaque qui explose par terre. Les deux bêtes m’ont lâchée : la tête me tourne et je m’affale par terre, baignant dans la froideur séminale. J’ai sommeil, mon esprit part, une petite voix me dit que je m’évanouis, mais je ne l’écoute pas, non ce n’est… ************** Pas possible ! Je suis vivante ? Cette blancheur éclatante qui m’empêche d’ouvrir les yeux, cette sensation de flotter, d’être bercée dans la chaleur. Non… Et pourtant, la douleur dans mon ventre et ma mâchoire, elle est réelle. Est-ce une main qui me parcourt la peau ? Une éponge ? Une langue sur ma joue ? Une langue humaine ?! Des rires. Des rires d’anges ? Ou de filles. Je n’arrive pas à ouvrir les yeux, j’ai mal et suis affreusement bien ! Oui, des bulles de savon qui éclatent à mes oreilles devant les rires. Suis-je dans un bain ? Oui, l’odeur suave l’affirme. On me lave, je crois, de douces mains glissent sur mon corps, mon ventre, mes seins, mes bras, envahissent mes cuisses de caresses. Je sens des ongles longs – des griffes ? Non, des ongles… humains – qui s’attardent sur les abords de mon sexe, l’entrouvrent. Un doigt s’y glisse, il semble vouloir le nettoyer comme je pourrais le faire. Une femme ? Est-ce une femme qui nettoie délicatement mon antre tout en donnant de douces sensations qui éveillent au ...
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