Une aventure révélatrice et inattendue
Datte: 22/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
occasion,
... esprit a été lorsqu’elle s’est accroupie devant l’armoire basse : les fils de sa jupe étaient tellement tendus qu’ils semblaient l’étrangler ; quant à la forme de ses cuisses, écrasées par la contraction des jambes, elle se galbait en s’élargissant. Là encore, je fantasmais : j’aurais voulu me positionner accroupi derrière elle, caler mon sexe tendu contre ses fesses et englober de chaque main sa généreuse poitrine. D’abord inconsciemment, j’appuyai mon sexe en érection contre le bord du bureau, puis je me masturbai grossièrement et machinalement en me frottant du plat de la main… jusqu’à ce qu’elle revienne à son bureau ! Impossible de reprendre mon travail, ni de feindre d’aller aux toilettes pour une envie pressante : la forme de mon pantalon était sans concession. Au bout d’un moment d’accalmie, j’allai donc aux toilettes pour opérer une masturbation virile et libératoire, en imaginant la scène fantasmée. Ce fut un violent et très agréable orgasme. * * * Si ma séance solitaire du matin m’avait calmé, l’après-midi fut malgré tout frustrant. J’avançais péniblement dans mon travail : mes quelques concentrations, nécessaires, furent régulièrement arrachées par des pensées érotiques et mon voyeurisme était encore plus incontrôlable et moins discret. Lorsque ma belle rouquine s’absentait de notre aire de travail, je la regardais sortir et admirais la forme de ses fesses et de ses cuisses. J’eus par moments l’impression qu’elle avait découvert mon manège. J’essayais alors de ...
... me raisonner « fais gaffe, tu vas te créer des problèmes ! » « t’as du travail ! » « pense à ton job ! ». Mais ces sages résolutions étaient balayées par son charisme réapparaissant dans mon petit univers. C’est à la fin de ce long après-midi où je poursuivais donc à contempler chaque posture érotique de la belle, qu’un événement a été un déclencheur pour la suite de mon histoire. L’objet de mes fantasmes était apparemment à la recherche d’un fax. Alors qu’elle se pencha sur son bureau vers une pyramide de casiers porte-documents qui me faisaient face, son collier de fausses perles m’interpellait en clinquant sur les objets environnants qui l’entourait. Les mouvements vifs et agacés combinés à sa posture avancée, exprimaient à nouveau le beau volume de sa poitrine ; échancrées, les perles dansaient sur la table tandis que ses seins ballottaient avec lourdeur de droite à gauche de par la retenue sérieuse d’un soutien-gorge ajusté. Pour la première fois, je pus en apercevoir la naissance qui était précédée par quelques tâches de rousseur. Voyeur hypnotisé, la séquence était trop belle… et presque sous mon nez ! Je n’arrivais pas (et ne voulais pas) en perdre une miette. Trop excité, et finalement trop faible pour arriver à faire face à mes émotions, j’ajoutais l’audace folle de frotter mon sexe vigoureux à travers mon pantalon, caché me rassurais-je, sous mon plan de travail. Absorbé, mon regard était fixe et uniquement canalisé sur cette chorégraphie mammaire. Je les matais à ...