1. Mon voisin le polisson (2)


    Datte: 02/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pardonner d’être à nouveau amoureux? » Quand je revins, il me regardait fixement. Dans ma nuisette, je ne m’étais pas rendue compte qu’il pouvait voir mon corps par effet de transparence. J’en fus terriblement gênée. Il ne fit aucun cas de mon trouble et aucune allusion sur mon corps que je trouvais bien trop rond. Me tendant mon verre, il cliqua sur une touche de son ordinateur. Une femme nue m’apparut, belle, sublime. « Voyez à quel point vous êtes semblable. Belle, de jolies formes des plus agréables. Alors, s’il vous plait, ne me dites plus jamais que vous êtes grosse car, vous ne l’êtes pas. Je vous trouve terriblement désirable. Maintenant, sachez ma belle et charmante voisine, que je serai me montrer patient. Nous savons, l’un comme l’autre, ce que nous ressentons pour l’autre. Mais vous m’avez dit ne pas vouloir franchir la pas avant d’avoir bouclé vos études, je respecterai ça. Mais, comme vous, vous ne pourrez m’empêcher de masturber sans ne pas penser à vous. » « Comment vous en vouloir. Je vais vous laisser, vous avez du travail, relire mes corrections. Vous avez, là, votre original et la version corrigée. À plus ! » « À bientôt belle ange. » Dans mon lit, bien que très fatiguée, je ne parvenais pas à trouver le sommeil, les visions de René me faisant l’amour me donnait des frissons de bonheur. Dès mon réveil, je sentis une odeur venir chatouiller mes narines. Cette odeur m’attira sur le balcon. J’enfilais un survêtement. Je le trouvais devant une jolie table ...
    ... garnie d’un déjeuner somptueux. « Venez, je me dois de vous féliciter. Voici ma manière de vous dire que vous avez travaillé comme un chef, une experte même. Vous avez fait là, d’un récit de bas étage, un chef d’œuvre. J’en ai envoyé un extrait à mon éditeur. Venez lire sa réponse, elle est très éloquente. Buvez votre café pendant qu’il est chaud et mangez à votre faim. Je vous lis : « sublime, ce texte est mille fois mieux que votre premier ouvrage, j’en veux d’autres à n’importe quel prix. » Voici qui devrait vous encourager. Aussi, vu que le manuscrit est parti chez mon éditeur, je vais vous en donner cent de plus pour le travail accomplit. » « Non, je ne veux pas, mais...non, rien. » « Alors je prends ça comme un oui. Et ne discutez pas toujours, ce que je vous donne pour votre travail est en dessous du minimum syndicale. Et puis, je tiens à vous aider, je sais ce que c’est que d’être loin de siens avec le minimum vitale. Sinon, je vais devoir me fâcher. » « Je ne sais que dire... » Il posa sa bouche sur ma joue pour un bref bisou. En face de moi, il me fit une belle et grande tartine avec une confiture maison, celle de la concierge, il parait. Encore une qui a dut lire son livre, je suppose. Après quoi, il est sorti en me demandant ce dont j’avais besoin et il insista. Je lui fis ma liste courses, une liste très sommaire. Pendant son absence, je commençais la lecture du troisième opus. Très vite, je suis l’héroïne et René mon amant, le dominateur pire encore, le maitre. Je ...
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