1. Ma cousine Claudine


    Datte: 05/03/2020, Catégories: fh, Inceste / Tabou groscul, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, pénétratio,

    Adolescent, je prenais grand plaisir à aller à la ferme. En coupant à travers bois avec mon VTT, l’exploitation de mes oncles et tantes n’était guère qu’à quatre ou cinq kilomètres de chez moi. Là-bas, le temps semblait s’être arrêté. Il y avait toujours ces antimouches sur lesquelles viennent s’agglutiner les petites bêtes. Ces trucs gluants pendaient sans complexe au plafond. Ma hantise, à cette époque, c’est qu’un jour un insecte se décolle et vienne s’écraser dans un de ces grands bols de lait bien frais que je prenais tant de plaisir à déguster. Lorsqu’il vous prenait une envie pressante, il fallait encore traverser la cour, toujours pleine de fumier et rejoindre les baraquements de l’autre côté. Une simple planche de bois avec un trou sommaire, pas du tout hygiénique. En été les mouches et en hiver le sol gelé, rien de vraiment agréable. La sœur de ma mère était une femme quelconque, un peu en chair et très rustique, son mari un lourdaud primaire et peu avenant. Ils n’avaient pas la télé, juste une vieille radio. En plus, ces gens-là ne lisaient pas, ne parlaient pas, et semblaient presque incultes. Pour autant, mes cousins ne s’ennuyaient jamais, outre le boulot à la ferme, ils passaient tout leur temps libre dans la nature : construction de cabanes, mise à l’eau de radeaux, pêche dans les étangs, braconnage dans les bois, cueillette de champignons, il y avait toujours quelque chose à faire, nous nous entendions bien et faisions les quatre cents coups ensemble. Seule ...
    ... ma cousine, un peu plus jeune, était écartée de nos délires. Le souvenir que j’avais d’elle, c’était celui d’une petite fille bien grasse et empâtée, avec deux petites couettes et des joues très rouges de campagnarde, qui passait tout son temps à rêvasser en caressant les animaux. Ses frères ne voulaient pas, en règle générale, qu’elle nous accompagne dans nos périples, sauf peut-être, quand nous allions pêcher. Et on lui en faisait souvent baver. Une fois, nous avions attrapé des sangsues et nous lui en avions collé plusieurs dans le cou, elle avait hurlé comme une folle. Une autre fois, elle avait eu le droit à une friction aux orties, c’était un peu notre souffre-douleur. Sans compter la fois où nous l’avions enfermée dans une cave très sombre. Son statut de cadette faisait qu’on en profitait un peu. Je n’avais pas revu ma cousine Claudine durant toutes ces années. Plus de vingt années s’étaient écoulées. Nous ne nous étions même jamais écrit et encore moins téléphoné. De mon côté, j’étais parti vivre un long moment au Luxembourg avec ma mère, car mes parents avaient divorcé. Par la suite, j’avais fait mes études à Paris. Quant à sa famille à elle, elle avait connu drame sur drame. Tout d’abord, l’aîné de mes cousins s’était suicidé dans sa dix-neuvième année. Ensuite, dix ans plus tard, il y avait eu cet « accident » tragique. Le père conduisait apparemment à moitié bourré, ils revenaient tous les quatre d’un gueuleton chez des amis et avaient percuté de plein fouet le ...
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