Ma cousine Claudine
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
groscul,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
pénétratio,
... camion d’un chantier. Le second fils avait été tué sur le coup et le père était décédé quelques jours plus tard des suites de l’accident. Quant à ma tante, désormais veuve, elle était désormais paralysée et à moitié impotente. C’est sa famille qui était obligée de la prendre en charge, en premier lieu Claudine qui restait toute la journée à son chevet. Je pris connaissance de tout ceci beaucoup plus tard, lors d’un dîner de famille. J’appris que ma mère avait fait plusieurs fois le déplacement, et qu’elle avait beaucoup pleuré, sa sœur était méconnaissable, un vrai légume à ses dires, qui passait l’essentiel de son temps dans un fauteuil et qui faisait sous elle… Pourquoi ne m’en avait-elle pas parlé avant ? Il faut dire que nous étions un peu brouillés à cette époque. Néanmoins, je l’avais assez souvent au téléphone. Elle avait pensé que ça ne pourrait pas « m’intéresser » : c’était tout ma mère ça, cette façon qu’elle avait trop souvent de vous attribuer des pensées. Avec le recul, je comprenais mieux que mon père ait fini par ne plus pouvoir la supporter : c’était une femme difficile,qui avait ses idées bien à elle, et il ne fallait pas en déroger. C’est après ce repas que je me suis mis à repenser à Claudine et aux images de ma jeunesse. Que devenait ma cousine ? Elle avait failli se marier, mais était finalement restée célibataire. Consacrer l’essentiel de sa vie à s’occuper d’une impotente, ce devait être d’une tristesse. J’avais toujours aimé Claudine. Certes, je ...
... l’avais pas mal embêtée quand nous étions mômes. Néanmoins, je dois reconnaître qu’elle avait une qualité immense, une profonde gentillesse qui s’exprimait à tout moment. Elle était en plus de bonne composition, pas rancunière pour deux sous, solide, fidèle, constante. S’il y a quelqu’un qui aurait mérité d’être heureuse, c’est bien elle. J’ai bien pensé faire le voyage ou alors lui téléphoner, mais, je l’avoue, par lâcheté, j’ai encore laissé passer quelques mois… C’est à mon retour de vacances que j’ai décidé de m’arrêter chez elle. J’avais gardé d’elle le souvenir d’une adolescente un peu bouffie, aux joues très rouges et à la bouille toute ronde, une campagnarde, une bouseuse, une fermière rude et crottée… Je me souvenais aussi de ces lointaines vacances où, encore adolescent et toujours puceau, je m’étais entiché de ma cousine. De trois ans ma cadette, ses seins avaient poussé, c’était déjà presque une femme. Nous avions été voir un feu d’artifice. Dans le noir, je l’avais pelotée et elle avait gloussé. Un autre jour, un petit bisou très appuyé sur la bouche. Les semaines qui suivirent, j’étais tombé amoureux d’elle. J’avais trouvé une de ses petites culottes usagées, qui sentait assez fort, et je l’avais sniffée jusqu’à plus soif, en me caressant comme un obsédé… C’est aussi à cette époque que mes parents se sont séparés et que ma mère est retournée vivre chez mes grands-parents au Luxembourg, m’entraînant avec elle dans son périple. Mon père qui s’était, de son côté, trouvé ...