1. Ma cousine Claudine


    Datte: 05/03/2020, Catégories: fh, Inceste / Tabou groscul, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, pénétratio,

    ... faire un petit tour en cuisine. Manger peut-être un petit quelque chose, un petit bout de pain, boire un petit verre de vin, me remplir l’estomac, ça m’aiderait peut-être à m’endormir, sait-on jamais. En revenant dans ma chambre, j’ai entendu des gémissements derrière une porte. J’ai pensé à ma tante souffreteuse. Peut-être avait-elle besoin d’aide ? Je pourrais au moins m’en assurer, pour au besoin prévenir ma cousine au cas où elle aurait besoin d’elle. J’étais là comme un con derrière la porte, ne sachant trop que faire. Au bout d’un moment, les gémissements continuant, je me suis enfin décidé à tourner le bouton doucement, puis j’ai entrebâillé doucement la porte. L’obscurité était loin d’être totale, c’était une nuit de pleine lune et l’on voyait parfaitement bien l’ensemble de la pièce : allongée sur le lit, il y avait une forme qui s’agitait. Ce ne pouvait être ma tante, elle n’aurait pas été capable de remuer de la sorte, ce ne pouvait être que ma cousine. Et puis, ces gémissements, ils n’étaient finalement pas vraiment plaintifs, mais beaucoup plus jouissifs. Mon cœur s’est mis à battre la chamade. Dans l’entrebâillement de la porte, j’ai peu à peu remarqué qu’elle tenait quelque chose dans sa main, qu’elle était écartelée sur le lit… Et qu’elle se l’enfonçait quelque chose en elle, dans son large bassin. Elle était nue, entièrement nue, j’apercevais même le galbe d’un sein. Claudine était tout simplement en train de se branler, avec un gode ou quelque chose qui ...
    ... en faisait office. Elle se branlait et les gémissements étaient ceux de son plaisir. Du coup, ma queue s’est mise à gonfler et s’est peu à peu redressée. Je n’aurais pas dû rester là, dans l’échancrure de la porte. Une énorme bosse ornait mon pantalon de pyjama. J’avais, moi aussi, très envie de me branler. Elle était beaucoup trop « partie » pour s’apercevoir de ma présence, c’est du moins ce que je pensais. Par la suite, elle a changé de position, elle s’est mise à quatre pattes pour mieux se l’enfoncer, m’offrant le spectacle grandiose de son très large fessier. Ce devait être un gode vibrant, car j’entendais distinctement son abrutissant ronronnement. Elle se l’enfonçait d’une main experte avec détermination et vigueur, ponctuant ses gémissements de petits cris et de halètements. De voir ses grosses fesses dandiner ainsi à quelques pas de moi, d’imaginer son sexe brûlant embroché par cette bite de plastique, j’ai glissé ma main dans la culotte pour, moi aussi, me caresser. Divin spectacle ! Quelques minutes plus tard, la voilà qui jouit, elle s’effondra lourdement sur sa couche en hurlant de jouissance. Je me suis lentement éclipsé, avant qu’elle ne reprenne ses esprits. J’ai refermé la porte avant de regagner ma chambre. Une fois dans mon lit, je me suis branlé comme un fou en repensant à ma cousine, ma cousine qui se sentait seule, ma cousine qui était en manque, et qui avait parfois des besoins urgents de vider la pression. Le lendemain matin, en me levant pour aller ...
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