Ma cousine Claudine
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
groscul,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
pénétratio,
... prendre le petit déjeuner, j’ai tout de suite remarqué que son regard sur moi avait changé. Elle était plus souriante et semblait beaucoup détendue. Est-ce le fait de s’être masturbée ? Elle paraissait plus jeune, même si elle portait toujours la même jupe et le même tablier. Et puis une étrange quiétude éclairait son visage : — Alors cousin, comment va ce matin? m’a-t-elle dit. J’ai remarqué que tu t’étais levé pour casser une petite croûte, j’avais oublié de te le proposer, mais tu as bien fait.— Oui, je n’arrivais pas à dormir. Je me suis fait un morceau de rillettes avec un verre de vin. Nous dévorions en silence de longues et belles tartines en les trempant dans du café au lait. Mais le silence n’était plus vide de sens comme la veille au soir, nous étions beaucoup plus détendus, beaucoup plus cool. Je retrouvais ma Claudine du bon vieux temps. — Prends ton temps cousin, il faut que j’aille nourrir ma mère.— Tu as besoin d’aide ?— Non, non, laisse tomber. Quand on n’a pas l’habitude, ce n’est pas très ragoûtant ! J’en ai pour un petit quart d’heure… Surtout, si tu veux encore du café, fais comme chez toi, ressers-toi. J’ai pris mon temps et l’ai attendue en feuilletant le journal de la veille. Je revenais de l’étranger et n’étais plus très au fait de l’actualité française. Puis elle est revenue, tout sourire, radieuse : — Ce matin, ça s’est bien passé.— Ça doit être dur, comme ça tous les jours ?— Tu ne peux pas l’imaginer. Mais c’est comme tout, on s’y fait… En ...
... ramassant les bols, elle a fini par lâcher : — Cette nuit, tu as ouvert ma porte ?— Oh. Euh. C’est à dire. Euh. Je croyais que c’est ta mère qui souffrait, répondis-je, en rougissant jusqu’aux oreilles.— Eh non, perdu, ma mère c’est l’autre porte, de l’autre côté du couloir… Et alors qu’en as-tu pensé ?— Oh. Euh. Rien. Je comprends.— Et tu n’as pas eu envie de rentrer, au lieu de rester comme ça sur le pas de la porte à regarder ? Je ne savais que dire, ni que faire, ni quoi répondre, elle s’affairait dans l’évier à laver le peu de vaisselle que nous avions laissée. Alors, elle a enfoncé le clou : — Je t’ai vu avant de me retourner et je pensais à toi en le faisant. Cet aveu sans fioritures m’a laissé bouche bée. Je me suis retourné pour regarder son fessier qui trônait devant l’évier, je me suis mis à nouveau à triquer. Alors, elle s’est retournée pour me faire face, son visage était encore plus rouge qu’à l’accoutumée : — Alors qu’en dis-tu cousin ? Je ne te plais plus ? Tu étais pourtant plein d’initiatives quand nous étions jeunes. Je me suis levé et me suis approché : — Je réponds que j’ai très envie de toi cousine, et que tu me fais bander. Je l’ai enlacée et l’ai embrassée devant l’évier. J’ai arraché son tablier et l’ai dépoitraillée, fou d’envie, me penchant sur ses seins pour les lui téter. J’avais envie de la prendre là, contre l’évier. — Arrête, pas ici, viens dans ma chambre, quelqu’un pourrait venir, le facteur ou les métayers. Elle se rajusta à peine et nous filâmes ...