1. Le Beaujolais nouveau


    Datte: 12/03/2020, Catégories: ff, Collègues / Travail parking, fête, voiture, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, ecriv_f,

    ... bien fou ! Je me suis assise dans mon fauteuil derrière le bureau pendant qu’elle s’installe jambes pendantes sur le meuble lui-même, offrant, sans le vouloir, ses jambes magnifiques à mes regards. Ce n’est pas pour rien que son surnom dans l’équipe est Barbie ! Elle en a vraiment tous les attributs : un corps longiligne avec une belle poitrine ferme, de jolies petites fesses et une chevelure blonde qui lui arrive au milieu des épaules, le tout illuminé par un regard d’un bleu azur du plus bel effet. Bref, la perfection physique personnifiée, ce qui ne manque pas de lui attirer tous les hommages masculins. Hommages qui, d’ailleurs, ne semblent pas l’intéresser outre mesure ! Je me pose la question de savoir si, par hasard, elle ne préfère pas les femmes… Nous discutons de tout et de rien tout en faisant un sort à notre bouteille et, maintenant, notre joie explose en des rires inextinguibles. Elle est tellement détendue qu’elle offre, sans s’en rendre compte, une vue imprenable sur ses cuisses gainées de bas noirs et sur le triangle de sa petite culotte. J’avoue me rincer l’œil sans vergogne et aussi que ceci déclenche une humidité révélatrice dans mon entrejambe. Une idée folle traverse alors mon esprit un brin embrumé ; je pose mon pied sur l’angle du bureau, juste à côté d’elle. L’effet immédiat est que ma jupe remonte et lui présente le même spectacle sur mon anatomie que moi j’ai de la sienne. Elle ne semble pas surprise mais son regard plonge immédiatement vers mon ...
    ... intimité et y reste scotché. Le vin doit y être pour quelque chose, j’avoue tirer un plaisir intense de cet examen et je me sens excitée au plus haut point. Elle se remet alors en position verticale et annonce : — La bouteille est vide, je reviens, je vais à l’approvisionnement ! Quand elle est de retour, peu après, je n’ai pas bougé d’un pouce, savourant mon trouble qui n’a pas faibli. Elle pose la nouvelle bouteille sur le bureau et me dit : — L’ambiance est chaude là-bas ! Je ne te dis que ça ! J’ai même surpris Sophie et Marc en train de se bécoter dans le couloir ! Par contre plus trace du patron, il doit cuver dans son bureau… En tout cas, nous avons suffisamment de provisions pour ne mourir ni de faim, ni de soif !— Super ! Bon, ce n’est pas tout ça mais il faut que je fasse une escale aux toilettes, j’en ai pour une minute !— Prends ton temps, nous avons tout l’après-midi devant nous pour boire cette bouteille ! Lorsque je reviens, elle a repris sa place sur mon bureau et, jambes croisées, fume une cigarette. Le regard qu’elle pose sur moi est lourd, un peu comme celui de certains hommes… Là, sans réfléchir, d’un geste parfaitement naturel, je ferme la porte et reprends ma place, face à elle. Après avoir rempli les verres, je lui dis : — À ta santé Élodie !— À nos amours ! répond-elle en levant le sien vers moi et en plantant son regard bleu dans le mien. Nous buvons en silence, les yeux dans les yeux, comme si le temps était brusquement suspendu. Puis, ensemble, nous ...