1. Le Beaujolais nouveau


    Datte: 12/03/2020, Catégories: ff, Collègues / Travail parking, fête, voiture, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, ecriv_f,

    ... reposons nos verres vides. Je me sens bien, j’ai chaud partout, envahie par un trouble qui n’est pas seulement dû à mes libations. En rougissant, elle me dit en chuchotant presque : — Tu me montres encore ? Désarçonnée un moment, je lui réponds du tac au tac le feu aux joues : — Je veux bien si tu me montres aussi ! Pendant que je repose mon pied sur l’angle du plateau du bureau, doucement elle écarte les cuisses. Elle doit lire ma surprise sur mon visage comme je lis la sienne. Pendant l’interruption, sans nous être concertées, nous nous sommes débarrassées de nos petites culottes et c’est notre sexe nu que nous offrons au regard de l’autre. — Nous avons eu la même idée ! constate-t-elle avec un sourire ravi.— C’est le signe que nous avons envie de la même chose, non ?— Sûrement ! Tu as déjà fait ça avec une femme ?— Pas encore ! Et toi ?— Moi non plus, mais j’en ai envie depuis longtemps ! En fait, depuis que je suis arrivée ici, dans ton bureau !— Pourquoi moi ?— Tu as l’air tellement sûre de toi, tellement déterminée et à la fois tellement fragile que j’ai eu, dès le premier jour, envie de te prendre dans mes bras, d’être intimement proche de toi !— Alors, vive le Beaujolais nouveau, puisqu’il a pu nous désinhiber ! Allez ça s’arrose, ressers-nous, s’il te plaît ! Pendant qu’elle fait le service, je pose ma main sur son genou et la fait glisser jusqu’à la peau nue de sa cuisse qui se hérisse à ce contact. Je pétris doucement la chair élastique qui tressaute sous mes ...
    ... attouchements. Elle repose la bouteille et se lève. — Il vaudrait peut-être mieux qu’on ne nous surprenne pas ! dit-elle tout bas. Et, me prenant la main, elle m’entraîne. Nos pas résonnent sur le sol cimenté du parking. Elle s’arrête devant une Twingo bleue dont les vitres sont teintées et ouvre la porte : — Monte à l’arrière, nous y serons mieux ! Elle m’a à peine rejointe que je l’enlace et l’embrasse avec fougue. Elle me rend mon baiser, mêlant sa langue à la mienne, son souffle au mien. Je glisse ma main dans l’échancrure de sa veste et emprisonne un de ses seins. Il est doux et chaud. Je le malaxe doucement et fais rouler entre mes doigt son mamelon qui s’érige et durcit. Elle gémit contre mes lèvres. Je prolonge ma caresse jusqu’à ce que sa poitrine devienne dure, sensible à chaque attouchement. Elle gémit de façon continue et écarte et resserre sporadiquement les jambes comme pour attirer mon attention sur elles. Résultat atteint, j’abandonne sa poitrine pour enfouir ma main entre ses cuisses, jusqu’à son sexe ruisselant. J’ai envie, j’ai besoin d’en prendre possession. C’est sans attendre que mon majeur pénètre sa féminité, coulissant avec facilité dans le conduit, entrant de toute sa longueur au plus profond d’elle, lui arrachant un long soupir de satisfaction. Je profite de sa lubrification abondante et introduis un deuxième doigt qui lui procure, dilatant plus encore l’orifice, des sensations voluptueuses plus fortes. Elle jouit violemment quand, mes doigts toujours au ...