Le Beaujolais nouveau
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
parking,
fête,
voiture,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
ecriv_f,
... plus profond d’elle, mon pouce vient se poser sur le bourgeon du clitoris. Son bassin roule, des secousses incontrôlées agitent ses jambes et, brutalement, elle emprisonne ma main en serrant très fort les cuisses en gémissant son plaisir contre ma bouche. Pour ma part, mon sexe littéralement trempé, bée en attendant d’être pris, distendu par une pénétration que je souhaite sauvage, brutale, sans retenue. Lorsqu’elle a repris ses esprits, Élodie s’emploie à le satisfaire. Ce n’est pas un mais deux, puis trois doigts qu’elle introduit en lui pour répondre à mes attentes. Ses mouvements alternatifs d’avance et de recul font merveille, le plaisir monte en moi par vagues successives, de plus en plus rapprochées. Je perçois une nouvelle sensation quand d’un autre doigt elle pénètre mon second orifice, le plus petit, qui se resserre instinctivement sur l’intrus, bloquant son avancée, mais libérant le processus de la jouissance. Je hoquette littéralement, respiration bloquée, totalement liquéfiée par cette sensation de mourir, ou presque, de plaisir. Quand le calme revient en moi, sa main me quitte, provoquant une sensation de froid, de vide. Elle me présente ses doigts devant la bouche. Je les lèche, les suce avec lenteur, éprouvant un plaisir trouble à connaître ainsi le goût de mon intimité. Nous nous étreignons avec force, autant que le permet l’habitacle étroit du véhicule prolongeant ainsi, le plus possible, les ondes de nos perceptions. Après plusieurs minutes, le calme ...
... revient. Je me sens repue, comblée, heureuse. Ma compagne semble dans le même état de béatitude. Les yeux fermés, la respiration ample, elle porte sur les lèvres un petit sourire satisfait qui me ravit. Ce n’est que bien plus tard que nous nous parlons de l’éventualité de remonter au bureau. — Attends, me dit Élodie, rien ne presse, profitons au maximum de cet instant. N’est-ce pas que l’on est bien ?— Bien sûr ma puce ! Mais ce n’est qu’un début, nous aurons l’occasion d’autres moments aussi forts, non ?— Tu veux que je te dise ? Tu es trop raisonnable, fais preuve de fantaisie, laisse-toi un peu aller, profite de cet instant magique !— D’accord ! Je suis ton conseil ! Nous allons faire, tu vas faire quelque chose pour moi, quelque chose dont j’ai envie depuis un bon moment !— Tout ce que tu voudras ! C’est quoi ?— Tu vas aller jusqu’au mur en face et là tu vas te mettre nue ! J’ai très envie de te voir nue !— Et si quelqu’un vient ?— On l’entendra venir, tu es garée loin de l’entrée, tu auras le temps de remonter en voiture !— Bon ! Ça marche ! J’y vais ! Elle sort et avance jusqu’au mur auquel elle s’adosse, bras et jambes écartés. Prise d’une inspiration subite, je me glisse à la place du conducteur, tourne la clé restée sur le contact et allume les phares. Sa silhouette est prise dans le faisceau lumineux qui révèle crûment mais délicieusement chaque détail. C’est alors qu’elle quitte son tailleur, le laissant tomber sur le sol. Elle est nue, seulement vêtue de ses bas. Sa ...