L'ascenseur
Datte: 15/03/2020,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
ascenseur,
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
... comme seule solution que de placer mes mains dans son dos. Ce contact a l’air de la calmer. Petit à petit, elle cesse de pleurer et je n’ai plus le bruit de ses sanglots dans mon oreille. Je n’ose bouger ; pourtant, il fait encore plus chaud, l’un contre l’autre. Je transpire à grosses gouttes que je sens couler le long de mon dos. Ma chemise me colle à la peau. Je prends conscience qu’elle aussi est dans ce triste état, mais aussi que sa poitrine est collée à la mienne. Petit à petit, j’identifie les doux renflements qui, imperceptiblement, se frottent à moi au rythme de nos respirations. Je ne peux pas empêcher mon sexe de traduire l’émotion que ce contact me procure. Je le sens gonfler. Je ne veux pas ! Il ne faut pas ! Mais plus j’y pense, plus il grandit, et lentement fraie son chemin dans mon boxer pour se dresser et se plaquer contre mon ventre. J’essaie de reculer pour éviter que Nadine sente l’objet de ma honte. Mais c’est peine perdue, et je sens bien que son pubis est au courant. Elle éloigne son visage de mon cou. Elle recule. Je m’attends au pire, que j’ai mérité : des injures, une claque. Je me prépare, et instinctivement je ferme les yeux, prêt pour le choc. Mais rien ne vient. Silence et immobilité. J’ouvre les yeux et je découvre Nadine, cherchant mon regard avec un petit sourire aux lèvres. Je ne sais pas lequel des deux a vraiment commencé, mais la seconde suivante nous échangeons un baiser d’une violence qui fait nos dents se choquer. Ses lèvres goulues ...
... m’enveloppent. C’est vrai que les techniciens l’ont un temps comparée à Julia Roberts pour sa bouche largement fendue, avec les blagues d’atelier associées. Nos langues bataillent, se nouent, se comparent. Elle pousse la sienne dans ma bouche, victoire provisoire qu’une contre-offensive libère. Non mais ! Elle ne va pas chercher à me commander, même dans ces circonstances… Mais elle a d’autres arguments. Sa main glisse entre ceinture et peau pour aller se saisir de ma verge. L’espace est étroit et rapidement le zip s’ouvre. Elle peut évoluer plus confortablement dans le boxer à l’élastique assez lâche. De mon côté, je m’acharne sur les minuscules boutons de son chemisier et ma précipitation provoque des dégâts. Si un soupçon d’éducation ne me retenait, je lui arracherais ce tissu maintenant humide et froissé. Enfin, je réussis. Le soutien-gorge couleur chair résiste moins longtemps et ses seins jaillissent, heureux eux aussi de pouvoir respirer après la pression exercée sur eux, déjà gonflés de désir, et dorénavant à l’étroit dans leur écrin. Je ne prends aucune précaution pour enlever ma chemise qui me colle à la peau et j’entends distinctement un bruit de tissu déchiré. Une accalmie dans ce délire sensuel ; chacun prend doucement la mesure de la situation : il est encore temps de faire marche arrière. Peut-être va-t-elle se ressaisir, et nous allons nous séparer pour enfouir cet instant d’égarement dans un recoin de notre mémoire ? Mais ses lèvres sont toujours au contact des ...