L'ascenseur
Datte: 15/03/2020,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
ascenseur,
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
... miennes. Sa langue, domptée, joue avec la mienne. Nous échangeons nos salives. La sueur coule dans nos yeux. Elle sert aussi de ciment à nos épidermes, exacerbant le contact de sa poitrine contre la mienne. La pointe de ses seins perce ma peau pour atteindre des liaisons nerveuses inconnues. Malgré la chaleur, je frissonne de plaisir et, presque à regret, mes mains nous séparent pour venir palper et envelopper ses lobes magnifiques. Elle m’abandonne. Voilà, elle revient sur terre ! C’est terminé ! Un moment de folie ! Mais non : elle me pousse doucement contre la cloison, s’agenouille et entreprend de finir ce que sa main a commencé. Le pantalon et le boxer gisent maintenant sur le sol. Je suis nu face à elle, adoratrice du totem et de ses deux assesseurs qui lui servent de fondations, avec le léger duvet blond que je conserve, en opposition avec toutes les règles modernes de l’épilation totale. Je n’ai rien contre la disparition des poils, mais je trouve que pendant ces chaleurs, il est bien plus confortable de conserver un peu de sa pilosité pour éviter le « collage » humide et désagréable des parties génitales. Ses mains, d’abord, prennent la mesure de l’objet. Elles sont d’une douceur absolue, effleurant le gland, pressant la hampe dans un massage délicat et surtout palpant mes bourses comme pour en deviner la contenance. Je pense« Rassure-toi : personne ne s’est jamais plaint que la source soit tarie ! ». La main cède la place à ses lèvres qui jouent avec mes couilles, ...
... les faisant rouler, tirant la peau finement ridée pour finalement les gober tour à tour pendant que sa langue étale une salive presque rafraîchissante. C’est divin. La « chieuse » révèle des talents insoupçonnés. Il est bien dommage que cette pratique ne soit pas de mise pendant les réunions : cela lui éviterait de nous assener des vacheries ! Oh, l’imaginer à quatre pattes sous la table en train de sucer les hommes ou lécher les femmes, indépendamment de l’érotisme torride et des jouissances occasionnées, cela procurerait des vacances à nos oreilles… Je suis un mufle ! Je n’ai que des idées de revanche alors que Nadine passe à la vitesse supérieure. Maintenant, c’est de ma queue qu’elle s’occupe. J’ai une pensée attendrie pour les techniciens qui fantasmaient sur sa large bouche. S’ils savaient… Oh, elle sait en faire autre chose que raconter des vacheries. Ses lèvres, sa langue, sa bouche, sa glotte ont des ressources insoupçonnées. La salope, elle cache bien son jeu. Elle a raison, d’ailleurs. Si ses talents étaient connus, le couloir serait encombré de mecs qui feraient la queue pour lui proposer une collaboration. Pour l’instant, je suis le centre de son univers ; et si on m’appelait pour le prix Nobel, je ne répondrais pas. Ce que ma femme ne réussit pas à faire, elle, le réalise sans vraiment se forcer. Pour la première fois de ma vie ma queue disparaît totalement dans la gorge d’une femme. Bien sûr, je savais que c’était possible ; mais jamais je n’avais eu la chance ...