1. L'ascenseur


    Datte: 15/03/2020, Catégories: fhh, Collègues / Travail ascenseur, préservati, Partouze / Groupe fsodo, exercice,

    ... de tomber sur une suceuse de ce calibre. Cela semble un jeu d’enfant que de gober ma verge lentement, avec les lèvres qui glissent sans effort tout au long de la hampe pour ne s’arrêter qu’au ras du pubis. Je sens même sa langue lécher la base de ma queue dans la liaison avec les bourses. Elle sait le bien que ses caresses peuvent provoquer chez un homme, et son regard qui pointe vers mon visage transporte toute la perversion de cette position. Ses narines palpitent au rythme de sa respiration et mon gland est comme massé dans la profondeur de sa gorge. Ses mains plaquées sur mes fesses servent de points d’appui pour entreprendre un va-et-vient sur ma queue tendue et de plus en plus sensible. Mais bien vite, trop vite, je dois l’arrêter si je ne veux pas juter dans sa bouche. Je la relève et c’est à moi de m’agenouiller devant elle. La jupe du tailleur ne résiste pas longtemps et je découvre une petite culotte très sage en dentelle blanche qui porte des traces d’humidité à l’entrejambe. Je la jette au loin, bien décidé à la garder plus tard comme souvenir. Mais pour l’instant, mes yeux découvrent le nirvana de tout séducteur, amant, mari et même lesbienne. Ce lieu secret m’est offert – mieux : franchement proposé – par un mouvement des jambes qui s’écartent. La belle est une adepte de l’épilation complète car pas un poil ne gêne le regard. De la fente au cul, la chair est disponible. Les petites lèvres largement marquées semblent onduler sous une brise bienvenue. Je plonge ...
    ... mon visage dans la chatte, respire à plein poumons son odeur, mélange prononcé de transpiration, mouille et sécrétions de la journée. J’adore ces remugles que d’aucun abhorrent. Quel plaisir de lécher une chatte sans goût ? Quel plaisir de sucer un clito qui vient de subir les effets dévastateurs d’un savon hygiénique ? Aucun. Ces odeurs sont le piment du cunnilingus. Ne me faite pas dire que j’aime les femmes négligées. Non, juste celles qui portent sur elles leur parfum intime et que seul un amant peut aller cueillir de la langue dans les replis secrets de leur féminité. Nadine gémit. Son corps se cabre, ses genoux fléchissent pour faciliter encore mieux mes caresses buccales. Mes mains se sont agrippées à ses seins, et depuis un long moment je combine pressions et roulades de ses tétons. J’ai exploré longuement sa chatte, introduisant ma langue aussi loin que je pouvais, pinçant le clito qui émerge de son capuchon mais aussi glissant dans la raie des fesses pour tester le petit trou de son cul. Ah, le privilège des femmes que l’on peut faire jouir longuement sans que la nature les oblige au repos comme nous, les hommes ! J’ai senti le nouveau parfum de son jus alors qu’elle gémissait longuement sous mes caresses. Ma bite n’est plus qu’un bâton douloureux à force de bander. Je me redresse et, dans un souffle, demande : — Tu as des… La boîte apparaît comme par magie hors de son sac. Un sachet est déchiré et c’est elle-même qui déroule le précieux latex sur le mandrin de chair. ...
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