1. Réconfort & vieilles dentelles VI. Les escarpins rouges (2)


    Datte: 21/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... l’autre fois. Et veuillez encore m’excuser. — Oh il n’y a pas de mal. C’est vraiment très gentil de vous déplacer. — Mais non, c’est normal. A vendredi." Je l’accueillis à ma porte, le vendredi à l’heure dite. Je m’étais sapé élégamment - pas question que je la reçoive en pantoufles - et m’étais mis mon eau de toilette au cuir de Russie. Si j’avais un restant de sex appeal, je tenais à essayer de l’amplifier au maximum en utilisant tous les outils en ma possession. S’il y avait eu un parfum masculin ou un déo qui s’était appelé "piège à femelles" j’en aurais acheté un litre et je m’en serais aspergé comme il faut. Dès que je la vis (que je la revis, je devrais dire), j’eus l’impression de revivre, c’était comme un ballon d’oxygène qu’on m’envoyait. Et en même temps, au même instant, me traversa comme une pensée fulgurante, une conviction fatale : pgpxxws je me dis immédiatement que si je ne baisais pas cette jolie petite femme j’en ferais une maladie, une crise d’urticaire. C’était au-dessus de moi, quelque chose qui me dominait. Dès qu’elle me se mit à me parler j’eus des images hallucinées qui revenaient danser dans ma tête, des images graveleuses et immorales à faire rougir un corps de garde : je voyais sa petite chatte, sa petite fente offerte et ma bouche entre ses cuisses, je me voyais lui tenir les jambes en l’air et bien écartées, ses petits pieds enfermés dans ses escarpins rouges, je la voyais me chevauchant, son corps menu un peu raide comme s’il cherchait à garder ...
    ... un semblant de dignité et de tenue, tandis que je la limais avec violence, mes mains emprisonnant ses petits seins... Je me demandais si ses pieds avaient au bout des orteils le même vernis rouge écarlate et soigné sur les ongles que sur ses mains. Bref, je dus faire un effort démesuré pour me concentrer et entendre ce qu’elle me disait. Elle avait un sourire beau et doux ; c’était la première fois que je la voyais sourire si franchement, me disais-je. Soit elle se détendait et abandonnait un peu son maintien trop strict, soit je lui plaisais (enfin, il ne fallait pas trop rêver...) Chassant ces folles images de ma tête, je lui rendis son sourire, en prenant dans mon registre des sourires le plus séducteur que jetrouvai tandis que je l’invitai à entrer. Je lui proposai un café qu’elle accepta, et la fis asseoir. Je trouvai l’ambiance plus détendue que la première fois. Elle semblait un peu moins guindée. On se connaissait désormais. L’aurais-je un peu apprivoisée ? Néanmoins, elle en vint immédiatement à notre sujet : elle me sortit le devis, me le lut, le détailla, me le commenta. Pour arriver à la douloureuse conclusion, le chiffre tout au bas. Aïe, il y en avait quand-même pour 11 700 €, soit plus encore que sa première estimation. Elle s’excusa, elle avait sous-estimé son évaluation. Elle n’avait pas pensé à tout. Elle était surtout une comptable, et même, en gros, la responsable administrative et financière, mais pas une technicienne ni un ouvrier d’exécution. Je ne lui ...
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