1. Azoulina


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, couleurs, soubrette, intermast, Oral pénétratio, couplea3,

    Je m’étais installé au Sénégal depuis plusieurs semaines, parce que ma femme m’avait quitté, et que je voulais changer de vie. Je n’avais pas de gros revenus, mais là-bas je vivais assez bien, la vie n’y est pas très chère. Cependant, une femme me manquait, non pas pour le côté sexe, mais pour tout ce qu’elle pouvait faire dans une maison. À présent je pouvais m’en rendre compte, sans une présence féminine, je me débrouillais très mal, pour les repas, le ménage, les achats courants, etc. En visitant un petit village de brousse, je fus touché par Azoulina, elle venait d’avoir dix-huit ans, et vivait dans un extrême dénuement, elle et sa famille. Comme elle se débrouillait très bien pour s’occuper des siens, je proposai alors à son père de la prendre comme employée à mon service. Elle serait rétribuée, et je l’amènerais une fois par mois leur rendre visite. Le papa fut immédiatement d’accord, mais je voulais qu’elle le soit aussi, et non forcée de venir. Lorsque je lui expliquai quel serait son travail, elle accepta, en émettant comme réserve qu’il n’était pas question qu’elle devienne mondeuxième bureau, c’est-à-dire ma maîtresse. Je la rassurai immédiatement, en lui disant que si elle me trouvait trop entreprenant, ou au moindre problème, je la ramènerais immédiatement chez les siens. C’est ainsi qu’Azoulina entra à mon service. Les semaines passaient, et tout le monde était heureux, moi le premier car tout était en ordre chez moi, et Azoulina était une excellente ...
    ... cuisinière, et elle, tout autant que moi, car elle vivait dans un « luxe » qu’elle n’avait jamais connu. Elle mangeait à sa faim et voyait sa famille chaque mois. Comme j’étais très satisfait d’elle, à chaque voyage lorsque je l’emmenais voir sa famille, je leur offrais des petits cadeaux. Pour moi ils n’étaient pas très onéreux, mais pour eux, ils avaient une grande valeur pour leur bien-être. Le seul petit bémol est qu’Azou, comme je la nommais depuis un moment, continuait de m’appeler « patron ». Issu d’un milieu plutôt ouvrier, et pas du tout colonialiste, j’avais du mal avec cette désignation. J’avais eu beau la menacer de la renvoyer, rien n’y faisait, elle continuait dans son entêtement, si bien qu’à présent je m’y étais fait malgré moi. Notre situation avait peu à peu évolué au fil des semaines. Il arrivait, lorsqu’elle revenait de faire des achats pour la maison, qu’elle me dise d’un air contrit : — Patron, tu ne vas pas être content, j’ai fait une grosse bêtise. La première fois je m’attendais à tout, mais lorsque je vis que sa « bêtise » était un vêtement qu’elle s’était acheté pour quelques francs CFA, je n’osai rien lui dire. De toute façon, elle avait l’air si heureuse, que je n’aurais rien pu lui dire. Passionné de photo, j’aimais la prendre souvent dans les tenues qu’elle venait d’acheter. Et toute fière, de retour dans sa famille, elle faisait le tour du village pour montrer à tout le monde les belles tenues qu’elle possédait. Les gens du village l’appelaient à présent ...
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