1. Azoulina


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, couleurs, soubrette, intermast, Oral pénétratio, couplea3,

    ... « princesse » quand elle revenait les voir. Plusieurs fois, je lui avais demandé de poser dans les petites tenues qu’elle s’était achetées, et bien qu’elle se promène presque tout le temps dans ces mêmes tenues à la maison, elle avait toujours refusé. — Ce n’est pas parce que je travaille comme ça que je suis une «patéticienne », disait-elle, en pensant « prostituée ». Notre relation avait bien changé à présent, c’était elle la maîtresse de maison, et elle me faisait une scène à chaque fois que j’invitais des amies à la maison, même si elles n’étaient que des amies. — Tu es trop méchant, patron… Avait-elle coutume de dire. Je pense qu’elle était devenue amoureuse de moi. Tout a basculé le jour où j’entrai dans la salle de bain, alors qu’elle prenait sa douche. Ce jour-là, je croyais qu’elle était sortie, aussi ce fut sans prendre la peine de frapper à la porte que j’entrai. — Ben, faut plus te gêner, patron, me dit-elle. Je sortis immédiatement, certainement plus gêné qu’elle. À ce niveau, mon intrusion n’eut pas l’air de la choquer outre mesure. Elle prit bien son temps pour mettre ses mains sur ses hanches, avant de me houspiller, sans chercher nullement à cacher sa nudité. Je pensais qu’elle avait fait exprès de prendre sa douche, à l’heure où j’allais habituellement dans la salle de bain. À présent, elle évoluait dans la maison, entièrement nue du soir au matin. Je pense qu’elle n’attendait que ce prétexte pour se montrer toujours ainsi devant moi. Il faut dire qu’elle ...
    ... était très bien faite, et malgré notre différence d’âge, elle ne me laissait pas indifférent. De plus, elle m’avait dit un jour que souvent les gens se promenaient nus dans leur village sans que cela soit une gêne, ils n’avaient aucun tabou avec la nudité. Un jour qu’elle s’était montrée particulièrement aguichante, alors que je bricolais dans la maison, elle me dit : — Quand tu auras fini ton travail, patron, je te ferai un massage pour te détendre. Un peu plus tard, elle revint à la charge : — Viens t’allonger, patron, je vais te relaxer. C’est ainsi que je me retrouvai couché au sol, avec Azou entièrement nue sur moi, en train de me caresser partout. Naturellement, une bosse vint vite déformer mon short. Azou fit semblant de ne rien remarquer, jusqu’à ce que ses mains arrivent à la hauteur de ma taille. — Oh là là, patron, me dit-elle. Je crois qu’on t’a jeté un sort. Tu as de la chance, ma grand-mère m’a transmis quelques dons de guérisseuse, je vais te soigner. Et joignant le geste à la parole, elle plaça ses mains par-dessus mon short, directement sur mon intimité. En quelques secondes seulement, je me libérai dans mon vêtement. Il faut dire que je n’avais pas fait l’amour depuis un bon moment, et que voir Azou nue tous les jours me mettait dans un état d’excitation pas possible. — Heureusement que j’étais là, patron, tu aurais pu mourir, me dit-elle d’un air très sérieux. Maintenant, elle avait pris l’habitude de me masser tous les soirs. — On ne sait jamais, le sort peu ...
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