1. Azoulina


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, couleurs, soubrette, intermast, Oral pénétratio, couplea3,

    ... revenir, disait-elle à chaque fois. Cette petite cérémonie quotidienne prit un nouveau tour quelques jours plus tard. Alors qu’elle massait ma virilité, elle décréta : — Je crois que le sort est en train de revenir, patron. Et il est beaucoup plus fort, il va falloir que j’enlève ton short, si tu veux guérir. Cette histoire de guérison me faisait sourire à chaque fois, car elle semblait en être vraiment convaincue. Lorsque je fus nu moi aussi, c’est elle qui éclata de rire. Lorsque je lui demandai la raison, elle me répondit : — Pas étonnant que les blancs soient si petits, avec un tuyau réduit comme cela, il ne doit pas y avoir une dose complète pour faire de grands bébés. C’est vrai que dans son village, tous les adultes avaient une tête de plus que moi, et même Azou était un peu plus grande que moi. D’autre part, pour un Européen, je pense qu’au niveau sexe, je devais être dans la moyenne. Mais dans son village, beaucoup de personnes, hommes comme femmes, étaient souvent nues. Et en voyant les garçons, les blancs auraient eu l’air ridicule à côté d’eux. Vexé, et pour ne pas être en reste, je lui jetai alors : — Peut-être, mais c’est de la bonne graine.— Je vais te dire ça tout de suite, patron, lança-t-elle alors, tout en prenant mon sexe entre ses lèvres, ne semblant attendre que ce moment. Je ne sais pas si elle avait déjà fait une fellation dans sa vie, mais j’y pris un plaisir immense. Lorsqu’elle eut fini, et tout avalé à mon grand étonnement, elle annonça : — Tu as ...
    ... raison patron, c’est très bon, et puis c’est un bon remède. Je ne sus jamais pour quelle maladie, mais je pense que c’est sa grand-mère guérisseuse qui avait dû lui dire ça. J’avais réussi à la convaincre de poser nue à présent, et c’est d’elle-même, sans que je la guide, qu’elle prenait des poses de plus en plus suggestives. Après chaque séance de pose, elle me « soignait contre les sorts ». C’est toujours à son initiative que de nombreuses photos d’elle – dans les poses les plus soft – ornaient les murs de la maison. Je suppose que c’était pour montrer à mes invitées qu’elle était plus qu’une simple employée, et pour les décourager d’essayer de me mettre le grappin dessus. Azou était devenue presque ma femme à présent, sauf qu’elle ne voulait pas passer les nuits avec moi. Elle dormait systématiquement dans sa chambre. — Une employée ne couche pas avec son patron, cela ne se fait pas, patron, avait-elle coutume de dire. Il est vrai que moi seul avais du plaisir, elle refusait toujours que je lui fasse l’amour. J’avais juste le droit de lui caresser les seins et les fesses pendant les séances de massage, je ne pouvais pas toucher son intimité. — Ce n’est pas parce que tu es patron, que tu as tous les droits, patron, me rétorquait-elle lorsque j’essayais d’insinuer ma main entre ses cuisses ou ses fesses. J’en avais marre de ses « patron » qui ponctuaient chacune de ses phrases, mais à présent j’aurais été très mal, si j’avais dû la renvoyer chez elle. Un jour je lui proposai ...
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