1. Azoulina


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, couleurs, soubrette, intermast, Oral pénétratio, couplea3,

    ... à mon tour de lui faire un massage, elle accepta assez facilement. Lorsqu’elle fut allongée, je pris bien mon temps pour la caresser, et pour l’exciter au maximum. J’espérais qu’elle m’autoriserait à aller plus loin. Ses seins pointaient comme jamais je ne les avais vus, et elle se tortillait dans tous les sens, excitée comme jamais. — Je crois qu’on m’a jeté un sort, patron, me dit-elle dans un râle. Je crois qu’il va falloir que tu essaies de me guérir. J’attendais ce moment depuis longtemps. J’approchai doucement mes mains de son intimité, et là, surprise, elle ne dit rien. Mes doigts trouvèrent facilement son petit bouton, qu’ils commencèrent à taquiner avec application. Semblant se réveiller soudainement, elle me lança : — Je crois qu’avec ta bouche, tu serais plus efficace, patron. Je ne me le fis pas dire deux fois, et plongeai immédiatement la tête la première. Ma langue prit aussitôt la place de mes doigts, et continua le travail commencé. Très peu de temps après, Azou se cabra de plaisir. Je pense que c’était la première fois de sa vie qu’elle jouissait. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits, et à me dire : — Toi aussi tu dois avoir des talents de guérisseur, patron. Les journées passaient très vite à présent, plusieurs fois par jour nous nous « guérissions » mutuellement, elle comme moi étions souvent victime d’un « sort ». À ce rythme-là, j’allais y laisser ma santé. Azou semblait elle aussi être de plus en plus fatiguée de ses journées, elle me ...
    ... proposa alors : — Tu sais, patron, il y a de plus en plus de travail pour moi ici, tu devrais prendre une deuxième assistante pour m’aider. C’était bien évidemment une excuse, il n’y avait pas plus de travail qu’avant. Mais Azou, sans l’avouer, devenait de plus en plus épouse, et de moins en moins employée. Nous nous mîmes d’accord pour recruter une autre fille, la prochaine fois que je l’emmènerais voir sa famille. Azou fut chargée du recrutement, j’avais émis deux conditions : que la fille me plaise, et qu’elles ne parlent pas leur langage entre elles en ma présence. Azou avait bien essayé de m’apprendre sa langue, mais, à part quelques mots courants comme bonjour, au revoir ou merci, j’y avais renoncé. Azou me présenta sa cousine Malounidazata, qui me plut immédiatement. Aussi grandes et aussi belles l’une que l’autre. De retour à la maison, il y eut un petit problème, il n’y avait qu’une seule chambre pour les deux filles. Azou refusa catégoriquement que Malounidazata couche avec elle : — Si c’était ma sœur, il n’y aurait eu aucun problème, patron, mais c’est ma cousine, et on n’a pas le droit. Tiens, mon œil, pas le droit ! Dans son village, il n’y avait pas de chambre pour tout le monde, seulement une case pour toute une famille. Et ça m’étonnerait que des cousines ne viennent pas « en vacances » l’une chez l’autre. C’était une nouvelle excuse d’Azou, comme j’en avais l’habitude. Lorsqu’elle ne voulait pas quelque chose, ou au contraire qu’elle voulait quelque chose de bien ...
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