1. Azoulina


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, couleurs, soubrette, intermast, Oral pénétratio, couplea3,

    ... précis, elle trouvait une excuse toujours bidon. Je proposai alors : — Bon, ce n’est pas grave, Malou dormira dans ma chambre. Je l’appelais ainsi, car son prénom était trop long, et je n’étais pas sûr de bien le prononcer. — Tu n’y penses pas patron, que vont dire les gens du village, répliqua de suite Azou. Les gens du village étaient à plusieurs centaines de kilomètres, je ne pense pas qu’ils sachent comment nous vivions. — Tant pis, patron, je dormirai dans ta chambre, proposa de suite Azou. Mais je te rappelle qu’une employée ne couche pas avec son patron. Je voyais mieux à présent où elle voulait en venir avec son histoire de cousines qui ne dorment pas ensemble : une autre excuse. L’affaire fut entendue, et Azou ne mit pas longtemps à mettre ses affaires dans ma chambre. Le lendemain nous irions acheter une armoire pour y mettre tous ses habits. À peine les deux filles installées, Azou annonça à sa cousine qu’elle devrait vivre nue elle aussi : — C’est une tradition française, annonça-t-elle en mentant effrontément. Malou sembla gênée de se mettre nue devant moi, mais se plia à la « tradition française ». Elle était vraiment aussi bien faite que sa cousine, bien qu’à peine plus grande. Avec mon mètre soixante-quinze, j’avais presque l’air d’un nain à côté d’elles. Azou prévint sa cousine : — Il faut que je t’avoue quelque chose. La maison est maraboutée, et parfois on nous jette un sortilège. Tu devras certainement devoir faire quelque chose à ce moment-là pour nous ...
    ... guérir. Malou ne voyait pas trop de quoi il s’agissait, mais pour éviter le mauvais œil, elle était prête à faire ce que lui disait sa cousine. Pour fêter l’arrivée de Malou, j’ai débouché une bouteille de champagne. Les deux filles n’en avaient jamais bu, mais elles apprécièrent immédiatement les petites bulles qui pétillaient dans leur bouche. Il fallut en ouvrir une seconde, après que la première eut disparu en à peine cinq minutes. Les deux filles étaient déjà bien gaies, et totalement nues toutes deux, elles commencèrent à danser ensemble tendrement enlacées. Ce spectacle me mit immédiatement en émoi. Azou s’en aperçut après quelques minutes. — Tu vois, dit-elle à sa cousine en me désignant. Quelqu’un a jeté un sort au patron, tu dois vite le sauver. Elle me fit allonger, et poussa sa cousine à m’entreprendre. — Retire-lui son short, sinon ta médecine ne marchera pas. En état d’euphorie, Malou n’hésita pas une seconde à me mettre nu et, comme sa cousine, éclata de rire en voyant mon sexe. Décidément, elles n’étaient pas habituées à voir le sexe d’un blanc. Sans se démonter, Malou mit ses mains sur ma virilité qu’elle commença à masser avec une certaine maladresse. Azou prit la tête de Malou, et l’approcha de mon extrémité tendue, en lui disant : — Avec ta bouche, tu iras plus vite à le soigner. Comme l’avait fait Azou la première fois, Malou n’hésita pas à me prendre en bouche. Un peu ivre moi aussi, je mis un peu de temps à parvenir au plaisir. Lorsque celui-ci arriva, ...
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