1. Azoulina


    Datte: 23/03/2020, Catégories: ffh, couleurs, soubrette, intermast, Oral pénétratio, couplea3,

    ... Malou n’en perdit pas une seule goutte, toujours à mon grand étonnement. Un autre tabou qui ne devait pas exister dans la famille. La différence avec Azou, c’est que Malou n’avait rien dit lorsque j’avais voulu la caresser intimement. Mes caresses avaient fait leur effet, Malou était tout humide. J’en profitai alors pour taquiner Azou. — Tu sais, je crois que ta cousine a eu un sort elle aussi, il faudrait peut-être la soigner avant qu’il ne soit trop tard. Azou comprit le message et me demanda : — Patron, il faut que tu la guérisses. Un peu à l’improviste je lui lançai alors : — Tes pouvoirs sont plus forts, il faut que ce soit toi qui la soignes, et puis je suis trop fatigué. Une nouvelle surprise m’attendait, Azou plaqua Malou au sol et commença un massage très caressant. Je suppose que le champagne y était pour beaucoup. Les mains d’Azou commencèrent au niveau du cou pour descendre très rapidement. Malou se laissait faire passivement, le champagne avait dû, à elle aussi, embrumer l’esprit. Elle ne broncha pas davantage lorsque les doigts d’Azou s’insinuèrent entre ses cuisses. Je poussai alors doucement le visage d’Azou vers le mont de vénus de sa cousine. Sans se démonter, elle y plaqua sa bouche, puis sa langue. Pendant qu’elle faisait cela, pour l’encourager, je la caressais amoureusement. Malou se libéra en se tortillant dans tous les sens. Pour elle aussi, je pense que c’était son premier orgasme. Lorsque Malou fut un peu remise, je la sommai de faire la même chose ...
    ... à Azou. — Tu sais, c’est très contagieux, tu dois, toi aussi, guérir ta cousine avant qu’elle ne soit vraiment malade. Elle ne semblait pas d’accord mais, après une brève explication dans leur langue, elle se résigna. Je ne sais pas ce qu’elles purent se dire, mais cela avait été efficace. Azou s’allongea, et Malou commença immédiatement ses caresses, non pas avec ses mains comme je m’y attendais, mais avec sa bouche. Azou guida directement le visage de sa cousine sur ses seins. Puis, toujours en tenant la tête de Malou, elle la fit lentement et progressivement descendre vers son bas-ventre. Je pus alors voir la langue de Malou pénétrer progressivement l’intimité de sa cousine, puis s’attaquer à son petit bouton. Azou maintenait toujours fermement la chevelure de sa cousine, en lui imprimant la cadence qu’elle voulait. Elle ne relâcha la pression que lorsqu’elle fut pleinement rassasiée. — Elle a plus de pouvoir que toi, patron, m’annonça-t-elle après un moment. Tout cela pour me faire comprendre qu’elle avait préféré les câlineries de sa cousine aux miennes. Après le repas, il fut le temps d’aller dormir. Azou m’avait prévenu que l’on dormirait dans le même lit, mais chacun de son côté. Et que si je faisais quoi que ce soit pour m’approcher, elle hurlerait si fort que son père viendrait me couper la tête. Autant fatigués par notre journée, que par le champagne, nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir. Le lendemain matin, je me réveillai le premier. Quelle ne fut pas ma ...
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