1. Tranche de nuit sauvage


    Datte: 25/03/2020, Catégories: fh, couple, pénétratio, fsodo,

    ... réaction. Il se cala sur ses coudes et je le sentis sourire : — Tu sais, pour ce genre de désir, tu peux me réveiller autant de fois que tu veux ! Tout doucement, je me mis à genoux et, avec gourmandise, je rampai vers son sexe. Mimant l’affamée, je le gobai tout entier me repaissant de cette masse de chair qui remplissait ma bouche. Je gémissais de contentement, mais je dus vite le libérer tant il commençait à m’étouffer. Je le pris dans ma main et me mis à le caresser doucement d’abord. Mmmh ! Son sexe réveillé qui glissait dans ma main, quel grand plaisir. Je sentis son corps se tendre en tremblant. — Ouh ! Tu aimes ça, quand je te branle hein ? Sans attendre sa réponse, comme une forcenée, je me mis à le sucer avec gourmandise Je dégoulinais. N’y tenant plus, tant je me sentais couler, j’eus envie qu’il me lèche aussi. À genoux comme une possédée, je vins me positionner au-dessus de sa bouche et en gémissant je l’implorai : — Lèche-moi toi aussi. Suce-moi, bois mon jus qui ruisselle ! Je n’eus pas le temps de finir, je sentis ses mains m’empoigner les fesses, et sa bouche me happa. Elle se mit à me sucer, me fouiller, me mordiller. Je sentis mes chairs énormes et baveuses, attaquées de toutes parts, dégoulinantes d’humeurs. Ces doigts entrèrent dans la danse, ça se mit à faire des flics flocs sonores. Ouuhh ! J’allais jouir. C’était trop fort, je m’arrachai précipitamment de sa bouche et reculai à genoux : — Non ! Non, attends, je veux jouir de ta queue, lui dis-je ...
    ... vulgairement. Vite, à califourchon sur son pubis, je pris son sexe d’autorité et le présentai à l’entrée du mien, je l’enfourchai maladroitement en grognant. Sans attendre, je me mis à imprimer sur son sexe de violents coups de bassin, le forçant à se frayer un passage dans le mien complètement trempé, mais encore un peu serré. Oh merveille des merveilles ! Son sexe me remplissait, et déjà m’écartelait. Je me mis à le chevaucher frénétiquement. J’étais béante et, à chaque contrecoup, son sexe venait me taper tout au fond. C’était divin. La chambre était remplie de bruits humides, de nos soupirs et de nos gémissements Ses mains saisirent mes petits seins et les pétrirent sans ménagement. C’était trop fort, je n’en pouvais plus, remplie par son sexe qui me bousculait tout le corps et ses mains qui me tordaient les seins, je perdis le contrôle. À genoux, assise sur son bassin qui me pilonnait le ventre, je me cabrai et me mis à jouir en râlant une sauvage… Affalée dans ses bras je repris mes esprits. — Pfoooouuuhhh. Son sexe toujours dur fiché dans mon ventre me ramena à la réalité. Je me redressai sur mes mains et me penchai sur lui : — J’ai joui tout de suite comme une folle, mmmmhh ! Que c’était bon… j’ai joui trop vite, c’était trop cooouuuurt ! Et puis : — Et toi, mon chéri, tu as joui toi aussi ?— Non, pas encore, me répondit-il avec un sourire dans la voix. Je le sentis encore tout tendu dans mon ventre, m’imprimer de légères pressions. — Oh, mon chéri, je ne peux pas te ...