1. Tranche de nuit sauvage


    Datte: 25/03/2020, Catégories: fh, couple, pénétratio, fsodo,

    ... laisser comme ça ! Je collai mon nez sur le sien et espiègle, sans réfléchir, je lui chuchotai : — Tu sais ce qu’une petite femelle en chaleur doit faire… pour faire jouir son homme qu’elle n’a pas attendu, tout accaparée à son plaisir égoïste.— Avec les p’tites femmes en chaleur, on ne sait jamais, me dit-il en rigolant. Je me levai doucement sur mes genoux, en profitant centimètre après centimètre, de son sexe qui glissait hors de mon ventre : — Eh bien je vais te montrer, attends ! Je me levai d’un bond et filai dans la salle de bains pour prendre une serviette de bain. Je revins en ondulant et apprêtai la serviette sur notre lit sous son regard amusé. Je grimpai lentement sur notre couche à quatre pattes et théâtralement, je pivotai, lui tournai le dos pour lui offrir mes fesses avec avantage. Avec un petit rire, je m’entendis lui dire : — Et voilà ce qu’elle doit faire… elle lui donne son « cucul » !— Pour qu’il lui donne une fessée ?— Oui ! On peut aussi, mais… fais pas l’innocent ! Ce n’est pas exactement ce à quoi je pense, dans cette position !Rire— Oh oh ! dit-il. Il roula sur lui et, à plat ventre, tendit le bras vers le tiroir de la table de nuit et l’ouvrit Toujours à quatre pattes remuant langoureusement mes fesses indécemment tendues, je le devinai avec un ravissement gourmand prendre le petit flacon magique. Sans rien dire, il referma le tiroir et je le sentis se mettre à genoux derrière moi, un petit bruit de bouchon, et un filet d’huile me glissa dans la ...
    ... raie des fesses. Il reposa le flacon. Sa main, toute en douceur, vint me barbouiller les fesses d’huile en de lentes circonvolutions. — Oh, j’adore quand tu pelotes mon gros « cucul » comme ça, ne puis-je m’empêcher de lui dire.— Et ce n’est pas tout, répondit-il. Les yeux fermés, je sentis la caresse se préciser. Ses doigts vinrent masser mon sillon charnu, et se mirent à explorer mon petit trou dans ses moindres replis. Fermement décidée à profiter pleinement de ces attouchements, je tendis les fesses vers ces doigts impudiques, qui se mirent à violer maintenant mon intimité, rentrant partout sans vergogne. Je sentis mes deux orifices gluants d’huile et de désirs, pénétrés, fouillés par mille doigts. Il me flottait bien dans l’esprit une petite pointe de honte d’être martyrisée de la sorte, aussi irrespectueusement, mais un plaisir obscène délicieux me poussait, lubrique, à l’inciter à encore moins de ménagement. Des pulsions grossières m’assaillaient, il savait ce qu’il faisait, et ça me faisait haleter. — Cochon !… tu en profites, tu aimes ça, hein ! Dans cette position si avilissante, je constatai encore une fois que le plaisir était plus fort. Emportée par cette sarabande, je ne pus lui cacher ce que je ressentais : — Oh que j’aime ça ! Je suis une vraie cochonne en chaleur ! Je voulais qu’il me prenne, il le fallait, je voulais qu’il le fasse. N’y tenant plus, d’impatience agacée, je l’exhortai finalement dans un souffle : — Encule-moi… Encule-moi maintenant, je n’en peux ...