1. Tranche de nuit sauvage


    Datte: 25/03/2020, Catégories: fh, couple, pénétratio, fsodo,

    ... plus ! Cette énormité résonnait encore en moi que je sentis son gland venir au contact de mon petit trou qui palpitait : — Doucement ! ai-je eu la force de lui rappeler. Par petits coups, je me sentis m’ouvrir. Son sexe, que je sentais durcir encore, rentrait… Chienne en chaleur, allant à sa rencontre, tous mes sens en éveil, je sentais avec délectation, ce membre qui se mettait à glisser en moi inexorablement. M’agrippant fermement les hanches de ses serres, il se mit à aller et venir plus profondément dans mes reins qui s’ouvrirent alors sans retenue. Des ondes traversèrent mon corps en zigzaguant jusqu’à mon esprit. Encore une fois, cette caresse brûlante si longue à accepter, si longue à maîtriser, mélangeant douleur et plaisir me semblait, une évidence. Pour moi, elle abattait les barrières les plus enfouies de mon subconscient, elle chassait quelque chose, elle libérait… Tout entière, je n’étais plus guidée que par l’accomplissement jouissif de cet accouplement contre nature, avec ce mâle en rut sur mon dos. Oh que j’aimais ça, tous mes sens étaient monopolisés par la sensation de cette pénétration si taboue, si interdite… mais qui devenait de plus en plus un passage obligé dans nos ébats… Je l’exhortais au déchaînement, il le sentait, il l’entendait, il se mit à souquer ferme. Sous les coups puissants de son bassin, de ma bouche s’échappaient incontrôlés des ouuuhs, des ouiis et des encooores. Je chancelais… je n’étais plus moi. Je perdis l’équilibre sous la ...
    ... puissance de l’étreinte, et m’affalais à plat ventre, les jambes écartelées. J’étais comme prise au piège, le ventre écrasé, raboté contre le matelas, le coccyx martelé par son pubis, l’anus écartelé par ce pilon impétueux qui sans cesse me remplissait jusqu’aux entrailles. Sans comprendre, inondée par cette violence combinée, je me mis à jouir… de tout mon corps secoué de spasmes, râlant de plaisir sans retenue, comblée, détruite, je me mis à geindre de bonheur. Je sombrai dans une extase libératoire. — Je jouis du cul… oh, je jouis du cul ! Mes muscles m’abandonnèrent… et contre toute attente, je me sentis me vider de partout. De la matière humide et visqueuse fuyait bruyamment en désordre sous la pression de ce sexe qui continuait à s’enfoncer sans relâche dans mes terres ravagées… M’en rendant compte, je ne pouvais et ne voulais rien empêcher. Laissant mon corps se soulager, avec délectation, je grognai grossièrement. — Oh je suis une vraie cochonne… continue, c’est trop bon ! Sur mon dos, mon mâle n’y tenant plus, au comble de l’excitation, comme pour colmater la brèche qu’il avait si largement ouverte, en un dernier soubresaut, se ficha en moi jusqu’à la garde en poussant un long rugissement de plaisir. Pantin désarticulé sous ce dernier assaut, je disparus, vaincue… Je rouvris les yeux, à plat ventre, les bras en croix, mes sens revenaient. Une forte odeur douceâtre de musc et d’huile d’argan flottait dans l’air. Je sentis sa main, dans un gant de toilette chaud et humide, me ...