1. Une fille à croquer


    Datte: 28/03/2020, Catégories: fh, copains, préservati, pénétratio,

    ... aérienne. Une main vient caresser doucement mes cheveux puis descend gentiment dans mon dos. Je pourrais rester ainsi durant des heures. J’ai dû être un chat dans une autre vie. Dans celle-ci j’ai passé un temps infini couchée sur un banc de l’école maternelle, une dame de service berbère aux cheveux frisés caressant doucement ma tête d’enfant solitaire. Tim me prend la main et me guide vers la chambre. Soudain un bruit assourdissant retentit, un sac de billes qu’on renverse au-dessus de nos têtes. Non, c’est la pluie. J’ai froid. Nous nous déshabillons et nous glissons sous la couette. Je me blottis contre la maigre poitrine de Tim en glissant mes doigts entre ses poils. Sur le côté, je ne sais jamais comment caler le bras qui se trouve bloqué sous moi. J’ai tellement sommeil… lui non. Un baiser sur ma joue, une main sur ma fesse. — T’es tellement sexy ! dit-il en roulant au-dessus de moi, me basculant sur le dos. Tim écarte doucement mes jambes et amorce une descente vers le pied du lit. — Tu aimes ça ? demande-t-il en me fixant de ses deux billes bleues.— Euh… ben… en fait, j’ai pas l’habitude.— Ils sont trop cons : c’est le meilleur ! déclare-il en plongeant sa tête entre mes cuisses ouvertes. Je n’ai pas le temps de dire ouf qu’il est déjà à l’ouvrage, tout en douceur. Les yeux mi-clos, j’essaye de me laisser aller. Sa langue s’immisce dans les petits replis de mon anatomie tandis que mes doigts s’insèrent entre ses bouclettes. C’est tout chaud et humide, et aussi ...
    ... très doux. Plutôt agréable. Je préfère de loin cette douceur moelleuse à un excès de vigueur sur ma partie sensible. — Alors ? s’enquiert Tim en relevant la tête.— J’aime bien, dis-je tout en bâillant et en me flagellant intérieurement de passer pour la pire des goujates. Je veux dire, des fois ça me faisait mal, alors je n’aimais pas.— Ben… ils y mettent les dents ou quoi ? s’étonne le garçon. L’artiste se lève et rallume la lumière. J’en profite pour me tourner sur le ventre. Peut-être qu’il va se calmer et que je vais pouvoir dormir. Pas du tout. Tim revient avec une capote, écarte mes fesses et tâte le terrain de ses longs doigts. Je ne suis pas en état de profiter pleinement de mes sens, je tombe de fatigue. Et en même temps je veux qu’il continue. De toute façon, il doit sentir mon corps tout relaxé et l’humidité sous ses doigts. La tête enfouie dans les oreillers j’inspire son odeur. — Content de voir que je te fais encore de l’effet, fait-il en remuant ses doigts.— Tim, c’est pas raisonnable…— Si tu ne voulais pas, tu me dirais non.— Mais… protesté-je mollement pour la forme.— Chut, je prends mon pied à te donner du plaisir. Ainsi vaincue, je laisse Tim explorer mon corps de son regard, de ses doigts, de sa bouche. Un bruit d’emballage en plastique puis un gémissement. Son sexe entre en moi tranquillement. Fin et long comme il est, il se glisse facilement sans encombre. Je cambre mes reins, attendant le moment où il viendra enfin buter contre la paroi sensible. Je me ...