1. Pour une Queue Montrée (2)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... foutu » et seraient montés à l’assaut. Je n’étais pas affamé : j’ai eu ma dose de sexe peu de temps avant, et je ne fantasmais plus sur ma sœur. Notre parenté aussi me retenait : l’interdit, que diraient nos parents si… Il fallait limiter la casse ; les petits enfants jouaient à touche-pipi, les grands enfants… avaient passé l’âge de ce genre de bêtises entre eux. Laurianne avait raison : nous en avions déjà fait beaucoup et je n’aurais jamais pensé – même dans mes rêves les plus fous – avoir un jour le droit de regarder son sexe en face et de le toucher, par-dessus le marché. Mais bon sang, qu’elle était belle femme ! Je venais seulement de le remarquer complètement. Que sa vulve était belle… Et si elle trouvait ma queue jolie aussi, alors les unir… Non, Greg, pense aux conséquences ! Fais pas le con. Tu ne peux pas dire que Laurianne et toi ne vous verrez plus pareils si vous faites l’amour ; rien que par ce que vous avez fait tous les deux, votre relation va être différente de toute façon. Mais… rrrhâââh ! Plus que seulement bander, j’avais envie de faire l’amour avec cette fille qui pour notre malheur était ma sœur ! J’avais envie de la pénétrer, mais aussi de l’étreindre, d’être contre elle, toute nue, contre son sein, ses seins ! Mes idées étaient tellement embrouillées que je n’arrivais plus à penser à quoi que ce soit. Pourtant, ma tête continuait de bouger : un peu ...
    ... en avant, un peu en arrière. J’étais assez conscient pour me rendre compte que, contrairement à tout à l’heure, j’avançais plus que je ne reculais. Malgré ma volonté, je ne parvenais pas à briser mes barrières… morales ? Bref, à casser cette résistance pour me jeter sur le corps brûlant de cette jeune femme. En temps normal, ma queue aurait déjà été dedans depuis dix minutes. « C’est ma sœur. C’est ma sœur. C’est ma sœur. » Mais même me répéter cette évidence commençait à peiner à me garder de l’acte, car elle se transformait en : « C’est ma sœur. — Et alors ? » Pire, des pensées que je n’aurais jamais imaginées naquirent dans mon esprit : « Justement, c’est ta sœur ! » L’argument de l’inceste n’était plus pour me retenir, au contraire : il commençait à me pousser vers la faute ! C’était de la folie ! Je fixais la vulve, toujours. Quelques vapeurs s’en échappant atteignaient mes narines ; le doux parfum naturel du désir féminin qui travaillait le plus souvent les instincts des mâles. Je devenais nerveux d’excitation à chaque fois, et cela me faisait m’approcher presque malgré moi pour mieux sentir encore. De par ces senteurs, j’écoutais de plus en plus mon corps et mon désir. Mon odorat se satisfaisait alors que je me trouvais très près de Laurianne. Mon esprit luttait fort pour me maintenir hors de portée de ce sexe. Finalement je posai mes lèvres en plein milieu de la vulve. 
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