1. La Muse (25)


    Datte: 29/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... immobilisées en croix. Cette position de totale soumission fit augmenter mon excitation à un point tel que je crus arriver à l’orgasme. Je respirais fort, ma vulve coulait... Ses doigts s’introduisirent en moi dans un mouvement de va-et-vient. Je les inondais de mon jus tandis qu’intérieurement je jouissais. Je crus hurler quand des pinces vinrent mordre mes tétons, et je me mordis les lèvres pour ne pas crier quand un mini-orgasme m’envahit, me faisant onduler et me tordre d’un plaisir mitigé de douleur. ixnikkdt — Tu as encore joui trop tôt, ma chérie ; je vais être obligé de te punir. — Oh oui, mon amour, punis-moi, ô mon Georges, ô mon amour ! Refais-moi ce que te me faisais avant... Les paroles qui venaient de sortir de ma bouche n’étaient pas de moi ; c’était impossible, je n’avais pas pu dire une chose pareille ! Je pensai avoir rêvé, ou alors j’étais habitée par Julie. Si cette pensée était un peu folle, le résultat fut immédiat : il me détacha, me retourna sans ménagement, me plaqua face au mur et me rattacha. Ses mains parcoururent mon dos, mes fesses, puis s’attardèrent sur elles, les caressant en formant des cercles, puis une claque me colla au mur. Au début, je fus surprise ; puis il y en eut d’autres qui résonnaient dans ma tête. La douleur faisait peu à peu place à un plaisir que je n’avais encore jamais connu. Caro avait raison : le plaisir dans la douleur, une jouissance ô combien délicieuse... elle allait se souvenir longtemps de sa soirée du lendemain ! Je ...
    ... voulais savoir jusqu’où je pourrais aller ; j’en voulais encore mais Georges s’arrêta. — Tu as compris maintenant ? — Oui, Maître, mais j’ai encore fauté : punissez moi encore, plus fort ; faites-moi crier. — Très bien, comme tu veux. Tu l’auras voulu... Pour mon plus grand plaisir, mon supplice ne s’arrêta pas là : une nouvelle claque me fit vibrer ; cette fois, elle toucha mes deux fesses en même temps. J’aperçus un objet long, large et rigide qui me fit mal, mais je ne criai pas. Les pinces à mes tétons me faisaient terriblement souffrir, et mon cul me chauffait de plus en plus. Tout à coup, un objet s’introduisit dans mon vagin et se mit à vibrer doucement, puis plus fort. Un second vint envahir mon anus ; il vibrait également. J’eus un magnifique orgasme quand de nouvelles claques vinrent percuter mes fesses de plus en plus fort et finirent par m’arracher une plainte : — Encore... encore... Frappe-moi encore plus fort ! Il m’en donna encore qui me firent hurler de douleur, mais surtout de plaisir. Je me mis à penser « Putain, Caro, demain tu vas voir ce que tu vas prendre ! » Puis il arrêta, me laissant un instant pantelante au bout de mes liens, le temps de reprendre mes esprits. Il m’ôta les godes, me détacha et me retourna sans un mot. Je cherchai quelle suite donner à cette séance. Machinalement, je levai les yeux vers le tableau. Le visage de Julie était différent : ses yeux pétillaient, son sourire était devenu sensuel. Sans même réfléchir, je m’entendis dire : — ...
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