1. La Muse (25)


    Datte: 29/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Georges ! À poil, et vite ! À peine déshabillé, je lui passai mes bracelets ; mes mains accomplissaient machinalement des gestes, comme si je les avais toujours faits. Après l’avoir attaché en croix tout comme moi auparavant, je me suis dirigée vers le placard où étaient disposés les jouets et les tenues ; sans que je choisisse, ma main saisit une tenue en cuir : un string et un soutien-gorge en lanières, sans bonnets. Je les enfilai ; ils m’allaient à merveille. Une paire de cuissardes en cuir noir brillant attendait mes pieds, puis ma main fut attirée par un fouet long et fin. Tel un automate, je pris place derrière Georges à bonne distance de son derrière, comme par habitude. Mon bras se leva. Le fouet déchira l’air et claqua les fesses de Georges qui émit un grognement. Jamais je ne m’étais servi de ce genre d’instrument ; alors pourquoi m’étais-je placée au bon endroit et avais-je eu la force et la précision suffisantes pour que la lanière atteigne son but ? Je ne sais combien de coups j’ai assénés sur les fesses et le dos de Georges, des coups qui à chaque fois laissaient une trace rougeâtre ; je prenais un plaisir immense à le fouetter ainsi, puis mon bras s’arrêta tout seul. J’étais entrée dans une transe inexplicable ; mon sexe dégoulinait de cyprine. Sur le tableau, le visage de Julie avait encore changé : il affichait un sourire de satisfaction accompagné d’un regard complice ; machinalement, je lui rendis. J’ai alors détaché mon supplicié et l’ai retourné. Il me ...
    ... détailla d’un regard satisfait. Son membre épais pointait vers le ciel, ou plutôt vers le tableau. Moi, je n’étais plus moi : j’étais devenue une machine, un automate. Sans rien contrôler, je lui posai les pinces aux tétons ; il grogna à nouveau. Je pris son sexe gonflé d’une main, ses bourses lourdes en velues de l’autre, et j’infligeai à sa verge un mouvement de masturbation lent ; mes doigts en forme d’anneaux coulissaient le long de sa hampe tandis que ceux de l’autre main malaxaient ses testicules, puis je frottai mon pubis contre lui tout en jouant avec les pinces, ce qui lui provoqua des torsions du buste et des grognements de plus en plus forts. Inconsciente du mal que je pouvais lui faire, je m’amusais en prenant un immense plaisir à ce jeu sadique. Suffisamment reculée pour lui donner le maximum de vue sur moi, je remis des pinces à mes tétons et jouai avec tout en me masturbant avec force et en gémissant comme dans les films de cul. Rapidement, un orgasme m’envahit. La tête me tournait, me jambes me tenaient à peine ; je tombai à genoux devant lui. Empoignant son sexe, je l’engloutis au plus profond de ma gorge pour le sucer et le masturber sans relâche jusqu’à ce que de puissantes saccades de sperme envahissent ma bouche et la remplissent. Habituellement, pour moi le sperme avait un goût infâme ; mais là, bizarrement, je le trouvai presque bon. Georges râlait, secoué par des spasmes de plaisir, semblant réciter une incantation dont je ne pus distinguer que quelques ...
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