Karine
Datte: 29/03/2020,
Catégories:
Lesbienne
... mamelons entre le pouce et l’index en un mouvement de va-et-vient convulsif. À son tour, Amélie se mit à me lécher et à me mordiller le visage, geste auquel je répondis aussitôt avec la plus vive énergie. Nos corps devenaient autant de continents à explorer. Passant du visage, je lui mordillai et lui suçai les oreilles, comme je l’avais fait avec sa langue. J’ai toujours eu un faible pour les oreilles d’une femme. Bientôt, ce furent son cou, ses bras fermes et son ventre musclé qui eurent droit au même «traitement de saveur». N’en pouvant plus, je l’invitai dans ma chambre.Première nuit d’amourAussitôt arrivées, je défis le lit, allumai la veilleuse, tirai les rideaux et fermai la porte. Strictly personal! Comme Amélie commençait à se déshabiller, je lui intimai d’arrêter en lui prenant doucement le bras. Nous serrant l’une contre l’autre, je l’embrassai à nouveau avec une fougue décuplée, tout en la déshabillant lentement, en des gestes langoureux. Elle fit de même de son côté. Pendant que nous continuions à nous déshabiller, chacune embrassait et léchait les parties qui s’offraient à sa bouche avide de chair nouvelle, tout en dévisageant l’autre d’un regard complice pour y détecter les moindres signes de plaisir. Lorsque Amélie m’enleva ma culotte, je ne pus m’empêcher de ressentir une certaine gêne, tant elle était mouillée par nos premiers ébats dans le salon. Voyant mon embarras, Amélie ne put s’empêcher de sourire gentiment. À genoux devant moi, mon amante pressa sa ...
... langue sur ma culotte, la tirant avec ses dents pour en aspirer le nectar. Tous ces mouvements de sa bouche, sans compter ceux de ses mains qui me pétrissaient les fesses, m’électrisaient au point que j’avais l’impression d’avoir des écluses grandes ouvertes entre les cuisses. Je lui empoignai la tête jusqu’à la lui imprimer dans mon sexe. Les yeux fermés, la respiration haletante, je hurlais presque, tant c’était bon! Je ne la savais pas si délurée.Enfin, ma culotte enlevée, sa langue fourragea mon pubis, se forçant un passage dans mon entrecuisse. Elle n’eût pas besoin d’insister longtemps. Enfonçant l’index et le majeur dans mon vagin, Amélie écarta délicatement les lèvres pour mieux darder sa langue à l’intérieur en un mouvement endiablé qui me fit presque perdre connaissance. Ses doigts frottant mon clitoris en plus, c’est un véritable Niagara qui inonda son visage! La prenant par la tête, je la relevai brusquement vers moi et lui léchai le visage avec une voracité que je ne m’étais jamais connue. Maintenant que nous étions complètement nues, je l’entraînai au lit.Étendues l’une en face de l’autre, je pris sa main et la glissai entre mes cuisses, tout en faisant de même. Pendant que nous nous masturbions, je glissai mon autre main sous sa tête et commençai à lécher ses lèvres. Aussitôt, sa langue entra en contact avec la mienne avec la même intensité que les fois précédentes. Délaissant son clitoris, que je massais en mouvements concentriques de plus en plus rapides avec le ...