Karine
Datte: 29/03/2020,
Catégories:
Lesbienne
PréludeJe m’appelle Karine. J’ai 19 ans. J’en suis à ma première année d’université. Il faut dire que pour moi cette expérience est des plus palpitantes. Les cours sont intéressants et les nouvelles amitiés faciles à établir. Ça me fait du bien d’avoir changé de milieu. Issue d’une petite ville où il ne se passe pas grand-chose, ce nouveau monde qui s’offre à moi se présente comme autant de portes à ouvrir.Plusieurs de mes amies m’ont dit que j’étais jolie. Je suis de grandeur moyenne. J’ai des cuisses musclées et fines à la fois, une poitrine agréable, des cheveux d’un noir de jais qui descendent jusqu’aux épaules et une bouche pulpeuse. Je n’ai jamais été attirée par les garçons. D’un naturel plutôt réservé, j’ai mis du temps à «entreprendre» quelques-unes de mes anciennes camarades de classe. Puisque dans ma famille nous ne sommes pas très portés à discuter de la chose, il a fallu que j’attende la fin du secondaire pour assouvir - de façon très pudique – certains de mes fantasmes. Une main posée sur une cuisse «par inadvertance» ou une accolade bien serrée devenaient les préludes à nombre d’orgasmes solitaires une fois au lit. À ce chapitre, les cours d’éducation physique au collège et à l’université sont devenus un milieu idéal pour me livrer à quelques tentatives sans trop risquer de me compromettre. Les seins sautillants sous les t-shirts durant les parties de basket-ball, les claques sur l’épaule ou sur les fesses en signe d’encouragement, le doux parfum de la sueur ...
... qui suinte sur la chair ferme et lisse, la chaleur enivrante et les halètements des joueuses épuisées à la fin de la partie, tous ces éléments contribuent involontairement à nourrir mes scénarios les plus débridés. Une fois sous la douche, c’est le délice! Toutes ces poitrines, parfois bien développées chez certaines, ces ventres vigoureux et le petit nid de duvet, pâle ou foncé, qui les accompagnent deviennent autant de banquets vivants où les fruits les plus exquis nourrissent mon imagination.Même si mes approches étaient souvent maladroites, j’avoue qu’elles m’ont néanmoins procuré des nuits dignes des contes des Mille et une nuits. Quel plaisir de pouvoir encore goûter, après les derniers soubresauts de l’amour, la saveur exquise d’une chatte ruisselante de cette douce ambroisie qu’on dénomme poétiquement cyprine. Mais, bien que toutes ces aventures fussent des plus gratifiantes, elles demeuraient le plus souvent sans lendemains.AmélieC’est au second semestre que je me suis inscrite à un cours d’aérobie. Dès que j’ai vu notre professeure, ça été le coup de foudre! Elle s’appelle Amélie. Petite, blonde, les cheveux noués en queue de cheval, un corps d’athlète, les yeux bleus, elle avait tout pour me faire chavirer. Sa voix, d’un léger contralto, exprimait la détermination et la fermeté de caractère. Mais ce qui me frappait le plus chez elle était une énergie et une bonne humeur presque inépuisables qu’elle savait rendre contagieuses à chaque cours. Inutile de vous dire ...