Karine
Datte: 29/03/2020,
Catégories:
Lesbienne
... salon, nous dégustions le digestif, mais sans la gêne de tout à l’heure. Bien qu’étant parfaitement lucides, j’avoue que l’alcool nous avait rendues plus hardies. Plus la conversation avançait, plus mon regard se faisait insistant. C’est alors que je décidai de faire les premiers pas. Pendant qu’elle me parlait, je m’approchais d’elle doucement, jusqu’à pouvoir la toucher. Tout en continuant d’écouter ses paroles, je déposai mon verre sur la table basse et commençai à caresser son bras du revers de la main, dans un doux mouvement de va-et-vient. Remarquant mon geste, elle parlait de moins en moins. Quoiqu’un peu effarouchée, elle ne fit rien pour m’intimer d’arrêter. Encouragée par cette attitude «passive» de sa part, je laissai glisser langoureusement mes doigts sur sa nuque, juste sous sa queue de cheval, puis sur son magnifique visage, d’abord le front, puis ses yeux, le dessus du nez, pour contourner ses lèvres, minces, mais sensuelles.Elle ne disait plus rien. Son regard exprimait une légère crainte en même temps qu’un abandon graduel. Du même coup, je sentais son souffle tiède, parfumé par la liqueur d’amande, devenir plus rapide. Ces effluves titillaient mes sens infiniment plus que le vin que nous avions bu au repas. Accolant délicatement mes mains sur ses joues, je posai mes lèvres sur les siennes, en petites saccades d’abord, jusqu’à ce que ces préludes se transforment en un baiser passionné. Elle daigna, pour mon plus grand bonheur, à ouvrir la bouche. J’avais le ...
... feu vert! Pendant que je pressais son visage de plus en plus vigoureusement, je laissai ma langue explorer sa bouche. D’instinct, elle alla tout de suite à la rencontre de sa sœur jumelle pour s’y enrouler frénétiquement dans tous les sens, pendant un long moment, pour ensuite continuer à explorer l’intérieur de la bouche avec la même ardeur, le palais, l’intérieur des joues, ce qui me permettait de faire double emploi avec mes mains, qui mimaient le mouvement de l’autre côté de la paroi, puis ses belles dents blanches, pour aboutir au fond.Enhardie par ce préambule enflammé, je commençai à mordiller la langue d’Amélie pour la sucer goulûment. Je la mordillais tant et si bien qu’Amélie émit de petits gémissements rauques et que son visage commença à se crisper sous l’effet de la douleur. Ce mélange de plaisir et de douleur m’électrisait au plus haut point. Voyant que ma compagne voulait se détacher de mon étreinte, je délaissai à regret ce tendre morceau pour la rassurer.- Shhhh! Ne crains rien, lui susurrai-je à l’oreille.Tout en lui murmurant ces mots, je pris ses mains pour les coller contre mes seins. Mes tétons étaient si durs qu’ils semblaient prêts à exploser. Amélie prenait de plus en plus goût à ce jeu. Timorées au début, ses mains me massaient les seins avec une vigueur croissante. Je fis de même de mon côté. Mes mains se faufilaient sous son gilet jusqu’à atteindre ses seins petits, mais fermes. Elle ne portait pas de soutien-gorge! Je pressai alors le bout de ses ...