1. Lettres d'une femme mariée - 2


    Datte: 30/03/2020, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, journal, confession, extraconj,

    ... avec une autre femme, jusqu’à m’apporter des détails que je ne lui demandais pas. Était-ce pour m’éprouver ou pour soulager sa conscience ? — Depuis, cela s’est passé souvent dans la cuisine… avant le p’tit dèj ou quand elle préparait le repas. Je n’avais pas un mot à lui dire… Il me suffisait de retrousser sa robe ou sa jupe et d’écarter sa culotte pour m’introduire en elle. C’était toujours un rapport bref et sans tendresse ! Elle reprenait alors ses occupations comme si de rien n’était… Cela pouvait se produire aussi en plein repas, bien sûr, les jours où les enfants n’étaient pas là. Je pouvais lui demander par exemple d’ajouter un breuvage très particulier à son menu, par une simple pression sur l’épaule. Elle venait alors s’agenouiller sous la table et elle me gratifiait d’une fellation bienfaisante avec l’application studieuse d’une jeune bourgeoise qui veut satisfaire en tous points son mari. Là encore, une fois rajustée, elle reprenait la conversation comme si de rien n’était… Mais cela pouvait se produire aussi, bien sûr, hors du cadre de la maison… dès que les circonstances, là aussi, le permettaient. Je me souviens ainsi de la visite de l’intérieur de la vierge du Puy où je l’ai prise en levrette alors que nous entendions des pas dans l’escalier… De cette autre visite tout en haut d’une tour médiévale où je lui ai léché la chatte tout en me masturbant et en abandonnant sur place une petite flaque de sperme que de proches visiteurs, croisés l’instant d’après, ont ...
    ... bien dû découvrir ! Il nous arrivait aussi d’avoir parfois l’audace de « forniquer » à la sauvette chez des amis chez lesquels nous étions invités. Nous prétextions un besoin d’aller fumer ou d’aller aux toilettes pour nous enfermer dans leur propre chambre ! J’avais un plaisir particulier, je ne sais pas pourquoi en ces circonstances, à l’enculer à sec debout contre le mur… et elle se laissait toujours faire avec beaucoup de dignité. J’appréciais particulièrement ensuite de la voir retrouver à table les convives avec une égale prestance… quand j’étais le seul à savoir son anus maculé de ma semence! Je l’écoutais mi-prostrée, mi-fascinée. Je voulais savoir et n’en pouvais plus de savoir. Mais même si j’avais conscience que cela devait me faire souffrir, je lui demandais d’une voix peu assurée : — Vous parlez au passé… mais vous continuez à avoir des rapports avec elle ?— Oui, mais de moins en moins… et j’en tire de moins en moins de plaisir.— C’était quand, la dernière fois ? Il eut un moment d’hésitation. Jusqu’à présent, pendant cette longue confession, il n’avait plus eu la force de soutenir mon regard… que j’essayais de capter, moi, désespérément. Cette fois, il plongea celui-ci dans le mien, intensément… — Je l’ai fait à nouveau avec elle plusieurs fois cette semaine… mais je dois vous avouer qu’à chaque fois c’était en pensant à vous ! À chaque fois je m’imaginais, en fermant les yeux, que c’était vous que je prenais… Je me suis mis à nouveau… je veux dire que j’ai eu à ...