1. Lettres d'une femme mariée - 2


    Datte: 30/03/2020, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, journal, confession, extraconj,

    ... nouveau le désir de la posséder, parce qu’à nouveau j’ai eu du désir… grâce à vous ! À chaque fois, c’est avec vous que j’ai envie de faire l’amour ! Après un silence où il n’avait cessé de me regarder fixement… — Je vous aime… et en même temps je ne sais comment vous aimer ! Avec vous, j’ai envie de prendre mon temps. Je sais que c’est totalement différent… Je veux dire que je ne peux m’imaginer faire l’amour avec vous comme je le fais avec elle, en sachant qu’elle n’a pas de réel plaisir ! J’ai envie de faire vraiment l’amour avec vous, avec tout ce que cela implique d’engagement affectif. Même si je dois parfois vous paraître cruel, comme à cet instant en vous parlant de ma femme… Je veux que vous sachiez que je ne veux vous forcer en rien… Après ce que je vous ai dit, je comprendrais que vous vouliez me quitter. Je veux dire quitter cette agence ! Il ne m’avait jamais semblé aussi beau. Je le croyais vraiment sincère et j’étais vraiment émue de son témoignage et de la confiance qu’il semblait placer en moi. En même temps je perçus pour la première fois qu’il devait avoir peur, qu’il était suspendu à une réponse de ma part ! C’est alors que, sans plus réfléchir, je me suis doucement approchée de lui. Comme l’autre fois, je me suis assise sur ses genoux et puis j’ai déboutonné mon corsage pour libérer un sein, sans même défaire mon soutien-gorge, et je l’ai porté à sa bouche ! C’était un instant d’une tendresse infinie. Il me tétait comme l’aurait fait un petit enfant. ...
    ... Je n’avais d’autre désir que de le rassurer… et je crois que son attitude, toute à l’abandon et à la jouissance de l’instant, me rassurait aussi. Je fis glisser mes doigts dans ses cheveux en un lent et tendre massage jusqu’à sa nuque, que je me mis à caresser. Pendant ce temps, j’observais avec ravissement mon patron, que je savais maintenant marié et père de famille, sucer avec délice mon mamelon, et une attention exquise à ne pas me faire mal… Je savourais de façon intense l’avidité qu’il avait à me « boire », même si je n’avais pas de lait ! Il a ensuite glissé sa main sous mes vêtements pour caresser l’autre sein. Cette double caresse de ma poitrine commençait à faire son effet, et je ne voulais pas être en reste… Moi aussi, j’ai glissé ma main sous la barrière du tissu pour atteindre sa « petite coquillette ». Sa proportion encore modeste m’attendrit comme l’autre jour, mais je prolongeai mon attouchement et bientôt chacune de mes mains flattait une part de sa pilosité : celle éparse qui parsemait ses bourses… et celle à peine plus fournie qui recouvrait son crâne. Mais bientôt son sexe se raidit et prit un certain volume et je le libérai d’un geste rapide, ayant dégrafé sa braguette. Je pouvais ainsi le branler librement. Ce qui avait aussi gonflé pendant ce temps, c’est ma poitrine trop serrée dans mes vêtements. Sans doute pour répondre au soulagement que je venais de lui apporter en libérant son sexe, Michel la libéra de toute contrainte, faisant sauter une simple ...