Ethique de travail
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
rousseurs,
Collègues / Travail
caférestau,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
aliments,
attache,
policier,
... n’avait pris aucune initiative coquine. Pas de baiser, pas de vêtement glissant au sol, ni de caresse. Mais ici, un effleurement qui avait toutes les apparences d’être accidentel. Mais là, un déhanchement désinvolte qui mettait en valeur sa croupe. Elle semblait attendre les ordres. Mais elle leur pavait le chemin. — Enlève cette robe, lança-t-il, faussement désinvolte, sans même la regarder. Il en avait envie, pourtant. Terriblement. S’éloignant, il tendait l’oreille, s’attendant presque, dans le silence complet qui régnait, à entendre les froissements soyeux du tissu glissant au sol. L’idée même de ce son l’excitait. Quand il revint, il tenait un bout de ficelle et une bouteille de vin. Il s’immobilisa face au spectacle qui s’offrait à lui. Véronique s’était faite Vénus. Debout, croisant les jambes comme une statue de la déesse, elle resplendissait au milieu de la chambre. Après les milles promesses de ses discrètes exhibitions, elle exposait ses formes avec une sensualité redoublée. De la robe étalée sur le sol, le regard de Simon remonta sur les talons et les chevilles, glissa impatiemment sur les mollets, puis les cuisses, s’attarda enfin sur le string humide. Courant le long de sa peau blanche, il se rassasia ensuite de la vision offerte par cette poitrine qui l’avait tant aguiché. Guidé par les rousseurs qui y naissaient, il retrouva rapidement les lèvres, cette fois retroussées en une moue coquine. Et ces émeraudes, toujours aussi perçantes, aussi étincelantes. ...
... Elle avait croisé les mains derrière la nuque, puis posé ses doigts délicats sur les aiguilles qui maintenaient son chignon en place. Elle haussa un sourcil interrogateur. Il secoua la tête. Il aimait voir sa nuque bien dégagée. — Le string, fit-il en s’approchant. Laissant sa coiffe intacte, elle plongea ses doigts sous le bout de tissu, le fit descendre sur ses hanches en ondulant doucement du bassin. Révélant une toison aussi rousse que sa chevelure. Luisante. — Pas de verres ? demanda-t-elle enfin, en désignant la bouteille de rosé qu’il posait sur la table de chevet. Il fit un petit signe de dénégation, maintenant juste à côté d’elle. Il l’embrassa. À peine eut-il le temps de goûter ses lèvres qu’elles se dérobèrent. Dans les yeux verts dansait une lueur malicieuse. — Tes yeux… murmura-t-il sans achever. Posant une main sur la nuque de Véronique, il l’attira à elle. Une seconde, il sentit une résistance. Puis elle céda. Elle ne l’embrassait que des lèvres. La langue faisait barrage à l’entrée de sa bouche. Consciencieusement, Simon se fraya un chemin, luttant et léchant. Comme sa langue glissait entre les lèvres de Véronique, elle commença à la suçoter. Il sentit Véronique poser une main sur son pantalon, caressant son érection à travers, tandis que l’autre main cherchait à s’introduire à l’intérieur. À regret, il s’arracha au baiser et, d’une secousse, la fit tomber à la renverse sur le lit. Il s’assit à califourchon sur elle et se pencha en avant. — Tes mains, lui ...