1. Ethique de travail


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, frousses, rousseurs, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, aliments, attache, policier,

    ... chuchota-t-il à l’oreille, non sans la mordiller un peu. Dans ton dos ! Avec le bout de ficelle, il lui attacha les mains, une à chaque extrémité. Laissant assez peu de jeu. Il se releva, la faisant lentement se retourner. Il lui caressa le creux des hanches, les cuisses, et glissa les doigts dans sa fourrure. Elle mouillait plus que jamais. Il retira sa chemise. Il alla prendre la bouteille de rosé. Véronique en profita pour se redresser. Elle était agenouillée dans le lit, invitante et provocatrice. — Tu bois au goulot, lui intima-t-il. Et il glissa ce dernier dans sa bouche, leva la bouteille. Il vit sa gorge se contracter… une gorgée… deux… trois… il continuait à lever la bouteille. Il la vit écarquiller les yeux, perdre contenance. — Ivre, fit-il, on verra si tu gardes ta belle assurance. Une quatrième gorgée, mais la panique commençait à se lire sur son joli visage. Simon se dit qu’il n’allait pas supporter longtemps ce manège. Il leva encore la bouteille. Elle secouait la tête, semblant refuser d’en avaler plus. — Je donne les ordres tu te souviens ? C’est toi qui l’as voulu. Maintenant, soumets-toi jusqu’au bout. Elle bloquait sa gorge. Ses joues étaient gorgées de vin, sa bouche en débordait. De longs filets rosés coulaient le long de son cou, glissaient contre ses seins. Enfin, il lui retira la bouteille de la bouche et la posa à côté du lit. Elle était vidée du tiers. — Avale ce qui reste dans ta bouche, ordonna-t-il. Avale ! Elle lui cracha le tout à la figure. ...
    ... Son visage dégoulinait de rosé. — Il ne me reste rien dans la bouche, haleta-t-elle. Un instant choqué, il eut envie de rire. Un rire difficile à réprimer. Il pouffa à plusieurs reprises avant d’y parvenir, de peine et de misère. — Très bien, petite maligne, répliqua-t-il d’une voix qui ressemblait à un feulement. Alors tu le lèchera sur mon visage. L’idée sembla lui plaire. La lueur qui dansait au fond de ses yeux s’était rallumée, tandis qu’elle rapprochait son visage du sien. Elle commença curieusement par lui embrasser le nez. Puis l’œil gauche, dont elle fit précautionneusement le tour avec le bout de la langue. Les lèvres posées sur ses sourcils, elle aspira la moindre goutte de vin. Sa langue agile parcourut une à une chaque partie de son visage, joues, menton, front. Les lèvres nécessitèrent plusieurs allers et retours. Elle alla recueillir les gouttes qui s’étaient égarées sur le lobe de son oreille. Terriblement excité, lui la caressait partout où ses mains pouvaient aller. Il agaça le nombril, titilla les mamelons. Sur une impulsion, il décida de retirer, une à une, les épingles qui retenaient le chignon de la belle. Sa crinière retomba en désordre, et il plongea les mains avec plaisir dans cette abondante splendeur. — N’oublie pas le cou, haleta-t-il. Elle n’oubliait pas, descendant le long de la mâchoire pour embrasser et lécher et mordiller le cou. Qu’elle s’en enivre ! pensa-t-il. — Détache mon pantalon, maintenant. L’entreprise fut difficile. Le bouton semblait ...
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